Dans le cadre de son projet de renforcement des leaders syndicaux de l’intérieur du pays, la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) a tenu un atelier de formation sur « les normes internationales du travail », en collaboration avec la Fondation d'études syndicales et de coopération d'Andalousie. Plus d’une vingtaine de responsables de la région ont pris part à cette rencontre.
A l’occasion, Makhary Samb, vice-président de la Cnts, a relevé la nécessité, de nos jours, d’outiller les responsables syndicaux eu égard aux nouveaux défis d’aujourd’hui, non sans évoquer les efforts de sa centrale, la Cnts, dans les luttes pour une amélioration de la situation des travailleurs au Sénégal. Il a annoncé la reprise des mercredis de la Cnts qui seront également un bon tremplin pour la formation des travailleurs. Il a aussi salué le partenariat espagnol.
Outre Saint-Louis, six autres régions vont accueillir cette caravane qui permettra d’outiller les responsables locaux. Pour Ndiouga Wade, coordonnateur de ce projet, ce retour à Saint-Louis, après une première séance de formation, permettra de sensibiliser sur les nouveaux enjeux. Beaucoup de choses ont changé, a avoué M. Wade et il appartient aux structures de faire acquérir à leurs membres de nouvelles capacités de lutte.
Il a aussi rappelé toutes les conventions ratifiées par le Sénégal, ce qui fait que notre pays fait office d’exemple. Mais, souligne-t-il, « il faut que les accords sur les migrants telles que les conventions 97 et 143 soient approuvées par le gouvernement, car nous sommes un pays de transit, de départ et d’arrivée de migrants ».
Au cours de cet atelier qui va durer trois jours, les participants seront entretenus sur la définition des conventions internationales de l’Oit et des normes fondamentales du travail, les impacts des conventions de l’Oit sur le monde du travail, le dialogue social, le travail décent.
LE SOLEIL
A l’occasion, Makhary Samb, vice-président de la Cnts, a relevé la nécessité, de nos jours, d’outiller les responsables syndicaux eu égard aux nouveaux défis d’aujourd’hui, non sans évoquer les efforts de sa centrale, la Cnts, dans les luttes pour une amélioration de la situation des travailleurs au Sénégal. Il a annoncé la reprise des mercredis de la Cnts qui seront également un bon tremplin pour la formation des travailleurs. Il a aussi salué le partenariat espagnol.
Outre Saint-Louis, six autres régions vont accueillir cette caravane qui permettra d’outiller les responsables locaux. Pour Ndiouga Wade, coordonnateur de ce projet, ce retour à Saint-Louis, après une première séance de formation, permettra de sensibiliser sur les nouveaux enjeux. Beaucoup de choses ont changé, a avoué M. Wade et il appartient aux structures de faire acquérir à leurs membres de nouvelles capacités de lutte.
Il a aussi rappelé toutes les conventions ratifiées par le Sénégal, ce qui fait que notre pays fait office d’exemple. Mais, souligne-t-il, « il faut que les accords sur les migrants telles que les conventions 97 et 143 soient approuvées par le gouvernement, car nous sommes un pays de transit, de départ et d’arrivée de migrants ».
Au cours de cet atelier qui va durer trois jours, les participants seront entretenus sur la définition des conventions internationales de l’Oit et des normes fondamentales du travail, les impacts des conventions de l’Oit sur le monde du travail, le dialogue social, le travail décent.
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