Selon l’Agence officielle de presse saoudienne (Saudi Press Agency, SPA) qui cite un communiqué du ministère saoudien de la Santé, « il s’agit d’une démarche préventive face à un virus mortel et hautement contagieux » comme l’Ebola qui a déjà fait plus de 72 morts en Guinée Conakry et touché le Libéria voisin. Des cas ont été suspectés en Sierra Léone.
Cette mesure des autorités saoudiennes vise tout d’abord le petit pèlerinage ou la Oumra et pourrait s’étendre au grand pèlerinage, si toutefois l’épidémie n’était pas maitrisée.
Le Sénégal a pour sa part pris des mesures, notamment, la fermeture des frontières avec la Guinée, quand bien même aucun cas suspect n’a encore été signalé dans ce pays.
Un communiqué émanant de l’Ambassade des Etats-Unis en Guinée, indique que « malgré ce bilan, les Etats-Unis et l’Organisation Mondiale de la Santé ne recommandent aucune restriction de voyage en ce moment ».
En réponse à la demande d’aide internationale formulée par le gouvernement guinéen, Washington a, par exemple, dépêché une équipe de cinq spécialistes américains pour se joindre à leurs homologues guinéens en vue de freiner la fièvre Ebola.
Les autorités américaines recommandent toutefois à leurs ressortissants résidant en Guinée d’éviter tout contact avec des personnes qui présentent les symptômes de la maladie et promettent aussi de continuer de surveiller la situation de près.
La fièvre hémorragique Ebola qui se manifeste par des flambées de fièvre, des saignements est une maladie contagieuse dont le remède n’a pas encore été découvert. Elle est apparue pour la première fois en République démocratique du Congo en 1976.
Selon l’Oms, le virus Ebola s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés.
Le nom virus Ebola provient du nom d’une rivière passant près de la ville de Yambuku, en République démocratique du Congo. C’est à l’hôpital de cette localité que fut identifié, pour la première fois, le filovirus, lors d’une épidémie qui débuta le 1er septembre 1976.
Cette mesure des autorités saoudiennes vise tout d’abord le petit pèlerinage ou la Oumra et pourrait s’étendre au grand pèlerinage, si toutefois l’épidémie n’était pas maitrisée.
Le Sénégal a pour sa part pris des mesures, notamment, la fermeture des frontières avec la Guinée, quand bien même aucun cas suspect n’a encore été signalé dans ce pays.
Un communiqué émanant de l’Ambassade des Etats-Unis en Guinée, indique que « malgré ce bilan, les Etats-Unis et l’Organisation Mondiale de la Santé ne recommandent aucune restriction de voyage en ce moment ».
En réponse à la demande d’aide internationale formulée par le gouvernement guinéen, Washington a, par exemple, dépêché une équipe de cinq spécialistes américains pour se joindre à leurs homologues guinéens en vue de freiner la fièvre Ebola.
Les autorités américaines recommandent toutefois à leurs ressortissants résidant en Guinée d’éviter tout contact avec des personnes qui présentent les symptômes de la maladie et promettent aussi de continuer de surveiller la situation de près.
La fièvre hémorragique Ebola qui se manifeste par des flambées de fièvre, des saignements est une maladie contagieuse dont le remède n’a pas encore été découvert. Elle est apparue pour la première fois en République démocratique du Congo en 1976.
Selon l’Oms, le virus Ebola s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés.
Le nom virus Ebola provient du nom d’une rivière passant près de la ville de Yambuku, en République démocratique du Congo. C’est à l’hôpital de cette localité que fut identifié, pour la première fois, le filovirus, lors d’une épidémie qui débuta le 1er septembre 1976.