BANLIEUE (trio, Sénégal)
Chorégraphe : Alioune Diagne
Interprètes : Alioune Diagne, Seydou Camara, Madiba Badjo
Trois hommes, un banc, dans un lieu, on chante, on danse. Nous sommes heureux. La banlieue est là avec ses réalités. A la discothèque, une jeune fille, l’air frivole, tient en haleine des hommes en chaleur. Il faut oser et être courageux. Le banc, symbole d’un lieu où l’engagement est le maître mot. Dedans lutteur, dehors quémandeur. Insulté, humilié, martilisé, tous les moyens sont bons pour s’en sortir. Le nouveau type de sénégalais se déclare. Finit la loi du plus fort. Vive la renaissance. Banlieusard ou non, ces mots n’ont aucun sens. L’essentiel c’est d’être animé de sa foi et de son engagement. Car, la société est en pleine mutation. Le mérite est souvent relégué en second lue.
Thieuy Banlieue !!!
SKETTE (solo, Tunisie)
Wajdi Gagui
Le cerceau tourne. L’homme en costard froissé tourne avec. On se bat. On est persécuté. On est bafoué. Une musique angoissante. Un homme perdu et fatigué. Wajdi mène une lutte interminable avec lui-même et avec tout le monde. Le printemps tunisien est revécu dans toutes ses dimensions. On se tue entre frères. Armé de sa foi inébranlable et de ses cerceaux imbriqués dans sa jupe de Derviche Tourneur, Wajdi Gagui sillonne les rues de sa Tunisie (en mode vidéo). Il faut faire basculer la balance.
ANTIPODAS, LONGFADE & ENTOMO EA & AE (duo, Espagne)
Dans l’obscurité, un homme, dos courbé, un corps en lutte. On reste sur place. Le corps s’étire. La musique s’intensifie. Pieds en l’air, un homme se débat. Face cachée, il veut renaître. Soudain, il se retourne. Bouche grandement ouverte, les dents dehors, il s’en va.
Robotique, le mouvement juste. Ensemble, à l’image des invertébrés, deux personnages se collent, se serrent et restent unis dans un duel révélateur.
Chorégraphe : Alioune Diagne
Interprètes : Alioune Diagne, Seydou Camara, Madiba Badjo
Trois hommes, un banc, dans un lieu, on chante, on danse. Nous sommes heureux. La banlieue est là avec ses réalités. A la discothèque, une jeune fille, l’air frivole, tient en haleine des hommes en chaleur. Il faut oser et être courageux. Le banc, symbole d’un lieu où l’engagement est le maître mot. Dedans lutteur, dehors quémandeur. Insulté, humilié, martilisé, tous les moyens sont bons pour s’en sortir. Le nouveau type de sénégalais se déclare. Finit la loi du plus fort. Vive la renaissance. Banlieusard ou non, ces mots n’ont aucun sens. L’essentiel c’est d’être animé de sa foi et de son engagement. Car, la société est en pleine mutation. Le mérite est souvent relégué en second lue.
Thieuy Banlieue !!!
SKETTE (solo, Tunisie)
Wajdi Gagui
Le cerceau tourne. L’homme en costard froissé tourne avec. On se bat. On est persécuté. On est bafoué. Une musique angoissante. Un homme perdu et fatigué. Wajdi mène une lutte interminable avec lui-même et avec tout le monde. Le printemps tunisien est revécu dans toutes ses dimensions. On se tue entre frères. Armé de sa foi inébranlable et de ses cerceaux imbriqués dans sa jupe de Derviche Tourneur, Wajdi Gagui sillonne les rues de sa Tunisie (en mode vidéo). Il faut faire basculer la balance.
ANTIPODAS, LONGFADE & ENTOMO EA & AE (duo, Espagne)
Dans l’obscurité, un homme, dos courbé, un corps en lutte. On reste sur place. Le corps s’étire. La musique s’intensifie. Pieds en l’air, un homme se débat. Face cachée, il veut renaître. Soudain, il se retourne. Bouche grandement ouverte, les dents dehors, il s’en va.
Robotique, le mouvement juste. Ensemble, à l’image des invertébrés, deux personnages se collent, se serrent et restent unis dans un duel révélateur.