Les organisateurs du festival Beccegu Ndar Kamm (En plein jour, en wolof) ont dénoncé, mercredi à Saint-Louis, ''le manque de réaction'' des autorités municipales face aux demandes d’appui qui leur ont été adressées pour la sixième édition de ce festival des cultures urbaines (22 au 27 décembre).
‘’Nous sommes désolés de constater leur absence, malgré nos différentes rencontres avec elles’’, a dit Samba Pen dit Coach, un des organisateurs de ce festival qui reçoit des jeunes de Rosso, Louga, Saint-Louis et de Lille (France).
Ce festival initié par l’Association de Pikine Jeunesse débrouillardes est en effet organisé en collaboration avec Hip Hop Echos d’En-bas d’Arras, dans le nord de la France et l’association lilloise call 911, opérateur pour les cultures urbaines en Nord-Pas de Calais.
‘’Nous estimons qu’elles auraient dû être là ne serait-ce que pour nous aider dans l’hébergement de nos hôtes qui viennent de loin. Mais heureusement que ces derniers ont mis la main à la poche pour se loger’’, a dit Coach, au cours d’une conférence.
Les jeunes rappeurs sont d’autant plus courroucés que leur programme intègre des activités d’utilité publique comme le ramassage des ordures et les collectes de biens destinés aux populations démunies de Saint-Louis.
‘’Nous ne demandons pas de l’argent. Mais un camion ou une brouette nous aurait largement suffi’’, a dit Coach.
Outre les concerts prévus, ce festival, qui débute ce mercredi à l'Institut français, prévoit des ateliers scéniques pour les jeunes rappeurs et un don de sang.
APS
‘’Nous sommes désolés de constater leur absence, malgré nos différentes rencontres avec elles’’, a dit Samba Pen dit Coach, un des organisateurs de ce festival qui reçoit des jeunes de Rosso, Louga, Saint-Louis et de Lille (France).
Ce festival initié par l’Association de Pikine Jeunesse débrouillardes est en effet organisé en collaboration avec Hip Hop Echos d’En-bas d’Arras, dans le nord de la France et l’association lilloise call 911, opérateur pour les cultures urbaines en Nord-Pas de Calais.
‘’Nous estimons qu’elles auraient dû être là ne serait-ce que pour nous aider dans l’hébergement de nos hôtes qui viennent de loin. Mais heureusement que ces derniers ont mis la main à la poche pour se loger’’, a dit Coach, au cours d’une conférence.
Les jeunes rappeurs sont d’autant plus courroucés que leur programme intègre des activités d’utilité publique comme le ramassage des ordures et les collectes de biens destinés aux populations démunies de Saint-Louis.
‘’Nous ne demandons pas de l’argent. Mais un camion ou une brouette nous aurait largement suffi’’, a dit Coach.
Outre les concerts prévus, ce festival, qui débute ce mercredi à l'Institut français, prévoit des ateliers scéniques pour les jeunes rappeurs et un don de sang.
APS