La compétition s’annonce intense pour la septième édition du Festival national des arts et de la culture (Fesnac) dont l’ouverture est prévue aujourd’hui. Les premières notes seront données ce jeudi. Danse, musique, théâtre…toutes les régions Kaolack, Kédougou, Kolda, Sédhiou et Fatick, Diourbel, Dakar, Louga et Tambacounda, Ziguinchor, Matam, Thiès, Kaffrine et Saint-Louis se préparent. Le défi est ainsi lancé à toutes les régions. A un degré plus élevé à Saint-Louis qui reçoit les autres. Les musiciens de Ndar n’entendent pas laisser les trophées rebrousser chemin. ‘On veut gagner le premier prix’, confie Ngame Diarra, chef de l’Orchestre Fous love Walo. Les huit membres du groupe font les derniers réglages au quai des arts. Ils sont en cours de répétition. Car, ils représentent Saint-Louis pour la compétition de musique. Ils viennent du département de Dagana. Ngame Diarra et compagnie promettent d’offrir vingt chaudes minutes de bonne musique. Trois morceaux Cal, Gambé et Jaamou sénégal vont être présentés dans un style rap. Des titres loin d’être choisis au hasard. ‘C’est pour mieux répondre au thème du festival le cousinage à plaisanterie’, a expliqué Ngame Diarra dont le groupe lance aussi un appel à la paix. ‘Nous sommes en période électorale. En tant que jeune, on prône la paix, car nous sommes tous des cousins à plaisanterie’, a soutenu Mc Toucouleur.
S’agissant de la danse et du théâtre, la capitale du Nord sera représentée, respectivement, par le Ngeweulgui danse et Dunya. ‘Tout est fin prêt’, a informé le metteur en scène da la troupe théâtrale Dunya, Mouhamed Diop. Les onze membres sont prêts pour présenter sur 45 minutes la pièce Parenté à plaisanterie. ‘On a eu le temps de tout maîtriser du fait du report de la date du festival’, renseigne Diop. Créée en 1998, cette troupe théâtrale en est à sa deuxième participation au Fesnac. Elle avait représenté la région de Saint-Louis lors de l’édition de Ziguinchor.
Composée de danseurs et percussionnistes, la troupe Ngeweulgui danse est basée sur la tradition griotte, d’après son directeur artistique.Elle cherche à mettre en branle la danse traditionnelle africaine et contemporaine.Pour Samba Ndiaye qui effectuait, hier, les dernières retouches au stade Me Babacar Sèye, Nguéweulgui danse en est à sa première représentation nationale.La chorégraphie de 20 minutes qui sera dévoilée au cours de la compétition a été montée par les danseurs eux-mêmes. ‘On essaie d’associer les liens de parenté qui composent le Sénégal’, a souligné Samba Ndiaye. Le choix de ces ambassadeurs de Saint-Louis n’a pas été complaisant, si on en croit le directeur du centre culturel africain Abdel Kader Fall. ‘Tout choix est difficile’, soutient Aloyse Diouf. ‘Il y a la prestation, le jeu des acteurs, le contenu du spectacle, le respect du thème, tout un ensemble de critères sur lesquels nous nous sommes basés pour sélectionner les groupes’, indique-t-il.
Aïda Coumba DIOP
S’agissant de la danse et du théâtre, la capitale du Nord sera représentée, respectivement, par le Ngeweulgui danse et Dunya. ‘Tout est fin prêt’, a informé le metteur en scène da la troupe théâtrale Dunya, Mouhamed Diop. Les onze membres sont prêts pour présenter sur 45 minutes la pièce Parenté à plaisanterie. ‘On a eu le temps de tout maîtriser du fait du report de la date du festival’, renseigne Diop. Créée en 1998, cette troupe théâtrale en est à sa deuxième participation au Fesnac. Elle avait représenté la région de Saint-Louis lors de l’édition de Ziguinchor.
Composée de danseurs et percussionnistes, la troupe Ngeweulgui danse est basée sur la tradition griotte, d’après son directeur artistique.Elle cherche à mettre en branle la danse traditionnelle africaine et contemporaine.Pour Samba Ndiaye qui effectuait, hier, les dernières retouches au stade Me Babacar Sèye, Nguéweulgui danse en est à sa première représentation nationale.La chorégraphie de 20 minutes qui sera dévoilée au cours de la compétition a été montée par les danseurs eux-mêmes. ‘On essaie d’associer les liens de parenté qui composent le Sénégal’, a souligné Samba Ndiaye. Le choix de ces ambassadeurs de Saint-Louis n’a pas été complaisant, si on en croit le directeur du centre culturel africain Abdel Kader Fall. ‘Tout choix est difficile’, soutient Aloyse Diouf. ‘Il y a la prestation, le jeu des acteurs, le contenu du spectacle, le respect du thème, tout un ensemble de critères sur lesquels nous nous sommes basés pour sélectionner les groupes’, indique-t-il.
Aïda Coumba DIOP