Thierry DESSOLAS (IFSL), Mor FAYE (UGB), Abou THIAM " Ngaari Laaw", Moustapha NDIAYE ( CCRAF) et Madické DIAGNE ( Olag)
Ainsi, plusieurs échanges sur le thème « Les jeunes et les femmes dans l’espace francophone : vecteurs de paix et acteurs de développement » seront tenus à l’Institut Français et à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, du 29 au 30 novembre 2014.
Au cours d’une rencontre avec la presse, vendredi, Abou THIAM a insisté sur l’apport de l’eau dans sa musique. « Je suis né sur un bras du fleuve Sénégal (le fleuve Doué). J’ai grandi dans un village de pêcheurs et c’est très bien connu que pour la plupart des artistes du Fouta, sont issus de cette caste qu’on appelle Pêcheurs. Le choix de l’eau pour les Nuits franc (eau) phones, s’explique par cela», a dit Ngaari Laaw.
Suivez notre entretien vidéo avec Ngaari Laaw
En plus d’Abou Thiam et Abou Diouba Deh, les lauréats du Concours de chansons eau et environnement 2011, et d’autres artistes de Saint-Louis participeront à l’animation de l’événement, aux côtés de l’Orchestre du fleuve Sénégal (OFS).
Cet orchestre réunit des artistes des pays de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) : Guinée, Mali, Mauritanie et Sénégal, qui ont en partage l'usage du français.
Il est aussi prévu une récitation de poèmes liés à l’eau et au fleuve, du Pekaan (chants épiques des stratèges de l’élément liquide, que sont les pêcheurs du Fouta), ainsi que des témoignages, la projection de plusieurs films, l'exposition de photos de Djibril Sy et d’œuvres artistiques sur l’eau et le fleuve Sénégal, et un panel sur la vie et l’œuvre de Guélaye Aly Fall, le grand chantre du fleuve Sénégal.
Le directeur du centre Culturel régional Moustapha NDIAYE s’est dit « heureux de constater que Saint-Louis vit au rythme des activités préparatoires du XVe sommet de la francophonie », avec ces concerts Débats de Ngaari Laaw et le projet Regard Croisé qui met en exergue les similitudes du patrimoine entre Saint-Louis du Sénégal et la ville de Québec.
Pour M. NDIAYE le partenariat entre l’Université Gaston Berger, l’Institut français et l'Office du lac de Guiers (Olag) va permettre de prendre en compte deux préoccupations majeures. En effet, cette coopération permettra de décentraliser les activités culturelles de ce sommet, mais aussi d’offrir au sommet un caractère participatif et populaire.
Le docteur Mor FAYE, directeur de l’UFR des Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) a réitéré l’engagement de cette institution universitaire dans la promotion du patrimoine qui s’est matérialisé par l’ouverture d’une section dédiée à cette science dans l’Unité de Formation et de Recherche qu’il dirige.
“La proposition de collaboration a été reçue avec beaucoup de plaisir”, a indiqué M. FAYE précisant que d’autres perspectives de partenariat pourront être envisagées avec l’artiste, à la suite de la célébration du sommet. De la francophonie.
Le docteur FAYE a également signalé qu’en marge du concert de Ngaari Laaw au « Tour de l’œuf » de l’UGB, d’autres rencontres se tiendront dans c temple du Savoir.
“Je me réjouis de constater la ville de Saint-Louis n’est pas en marge de la francophonie. L’inverse aurait été étonnant. Saint-Louis une vieille ville francophone d’Afrique qui reflet tout le patrimoine immatériel du passage de la colonisation. Saint louis est une ville emblématique de la francophonie », a par ailleurs rappelé le docteur Mor FAYE.
NDARINFO.COM
Au cours d’une rencontre avec la presse, vendredi, Abou THIAM a insisté sur l’apport de l’eau dans sa musique. « Je suis né sur un bras du fleuve Sénégal (le fleuve Doué). J’ai grandi dans un village de pêcheurs et c’est très bien connu que pour la plupart des artistes du Fouta, sont issus de cette caste qu’on appelle Pêcheurs. Le choix de l’eau pour les Nuits franc (eau) phones, s’explique par cela», a dit Ngaari Laaw.
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En plus d’Abou Thiam et Abou Diouba Deh, les lauréats du Concours de chansons eau et environnement 2011, et d’autres artistes de Saint-Louis participeront à l’animation de l’événement, aux côtés de l’Orchestre du fleuve Sénégal (OFS).
Cet orchestre réunit des artistes des pays de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) : Guinée, Mali, Mauritanie et Sénégal, qui ont en partage l'usage du français.
Il est aussi prévu une récitation de poèmes liés à l’eau et au fleuve, du Pekaan (chants épiques des stratèges de l’élément liquide, que sont les pêcheurs du Fouta), ainsi que des témoignages, la projection de plusieurs films, l'exposition de photos de Djibril Sy et d’œuvres artistiques sur l’eau et le fleuve Sénégal, et un panel sur la vie et l’œuvre de Guélaye Aly Fall, le grand chantre du fleuve Sénégal.
Le directeur du centre Culturel régional Moustapha NDIAYE s’est dit « heureux de constater que Saint-Louis vit au rythme des activités préparatoires du XVe sommet de la francophonie », avec ces concerts Débats de Ngaari Laaw et le projet Regard Croisé qui met en exergue les similitudes du patrimoine entre Saint-Louis du Sénégal et la ville de Québec.
Pour M. NDIAYE le partenariat entre l’Université Gaston Berger, l’Institut français et l'Office du lac de Guiers (Olag) va permettre de prendre en compte deux préoccupations majeures. En effet, cette coopération permettra de décentraliser les activités culturelles de ce sommet, mais aussi d’offrir au sommet un caractère participatif et populaire.
Le docteur Mor FAYE, directeur de l’UFR des Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) a réitéré l’engagement de cette institution universitaire dans la promotion du patrimoine qui s’est matérialisé par l’ouverture d’une section dédiée à cette science dans l’Unité de Formation et de Recherche qu’il dirige.
“La proposition de collaboration a été reçue avec beaucoup de plaisir”, a indiqué M. FAYE précisant que d’autres perspectives de partenariat pourront être envisagées avec l’artiste, à la suite de la célébration du sommet. De la francophonie.
Le docteur FAYE a également signalé qu’en marge du concert de Ngaari Laaw au « Tour de l’œuf » de l’UGB, d’autres rencontres se tiendront dans c temple du Savoir.
“Je me réjouis de constater la ville de Saint-Louis n’est pas en marge de la francophonie. L’inverse aurait été étonnant. Saint-Louis une vieille ville francophone d’Afrique qui reflet tout le patrimoine immatériel du passage de la colonisation. Saint louis est une ville emblématique de la francophonie », a par ailleurs rappelé le docteur Mor FAYE.
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