Le Sénégal et la Mauritanie ont signé le protocole de 2001 et s’engagent mutuellement à préserver l’exploitation durable de leurs ressources halieutiques maritimes, continentales et aquacoles.
La Mauritanie accorde ainsi ‘’un quota de quarante mille tonnes (40.000 tonnes) par an à un nombre limité ne dépassant pas les trois cents (300) embarcations ciblant les espèces pélagiques à l'exception du mulet afin d'approvisionner le marché de Saint-Louis’’, d’après les termes de cet accord parcouru par Ndarinfo.com.
La nouvelle réglementation en vigueur exige que les embarcations respectent certaines conditions notamment la détention d’un récépissé de sortie délivré par les autorités compétentes sénégalaises, le passage au point d'entrée et de sortie des eaux sous juridiction mauritanienne (situé au large de N'diago) et le respect des instructions des autorités mauritaniennes chargées du contrôle et de la surveillance des pêches.
Par ailleurs, le texte souligne que les pêcheurs n’opère que ‘’dans la zone de pêche comprise entre Ndiago et la rade se trouvant au sud du port autonome de Nouakchott.
En outre, un système déclaratif des captures est a été mis en place et oblige aux embarcations artisanales attributaires d'une licence de se soumettre à un contrôle par échantillonnage de la part des autorités mauritaniennes compétentes (GCM).
Le protocole ‘’interdit de pêcher les céphalopodes et les crustacés’’ et précise qu’une ‘’embarcation artisanale (.. .) qui ‘’ viole les dispositions du présent Protocole’’ ‘’sera passible des sanctions et mesures coercitives’’.
Cheikh SEYE
La Mauritanie accorde ainsi ‘’un quota de quarante mille tonnes (40.000 tonnes) par an à un nombre limité ne dépassant pas les trois cents (300) embarcations ciblant les espèces pélagiques à l'exception du mulet afin d'approvisionner le marché de Saint-Louis’’, d’après les termes de cet accord parcouru par Ndarinfo.com.
La nouvelle réglementation en vigueur exige que les embarcations respectent certaines conditions notamment la détention d’un récépissé de sortie délivré par les autorités compétentes sénégalaises, le passage au point d'entrée et de sortie des eaux sous juridiction mauritanienne (situé au large de N'diago) et le respect des instructions des autorités mauritaniennes chargées du contrôle et de la surveillance des pêches.
Par ailleurs, le texte souligne que les pêcheurs n’opère que ‘’dans la zone de pêche comprise entre Ndiago et la rade se trouvant au sud du port autonome de Nouakchott.
En outre, un système déclaratif des captures est a été mis en place et oblige aux embarcations artisanales attributaires d'une licence de se soumettre à un contrôle par échantillonnage de la part des autorités mauritaniennes compétentes (GCM).
Le protocole ‘’interdit de pêcher les céphalopodes et les crustacés’’ et précise qu’une ‘’embarcation artisanale (.. .) qui ‘’ viole les dispositions du présent Protocole’’ ‘’sera passible des sanctions et mesures coercitives’’.
Cheikh SEYE