Ce futur cabinet, c’est un peu l’anti-administration Trump avec d’abord Anthony Blinken, 48 ans, qui devient secrétaire d’État. Blinken est parfaitement francophone et il connaît déjà ce poste crucial. Sa nomination marque une rupture avec l’isolationnisme de Donald Trump car Blinken est un partisan affiché du multilatéralisme avec les alliés traditionnels des États-Unis.
Sous Barack Obama il était déjà au cœur de la diplomatie américaine : « Je connais bien Tony, dit l'ancien président démocrate, il a été mon conseil à la Sécurité nationale, il a aussi été le conseiller en politique étrangère de Joe quand Joe était mon vice-président. Il faisait partie de notre cercle rapproché et il était là dans toutes les réunions importantes. C’est quelqu’un d’extraordinaire. Intelligent. Courtois. Diplomate talentueux. Il est bien vu à travers le monde. Et je sais qu’il fera un super boulot. On sait aussi que Jack Sullivan sera conseiller à la Sécurité nationale. Lui aussi, extrêmement intelligent. Dynamique. Lui aussi sera extraordinaire. On est en train de voir se constituer une équipe en laquelle j’ai tout confiance. »
Le retour de John Kerry
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Dans ce cabinet on note aussi le retour d’un visage bien connu à l’international : celui de John Kerry. L’ancien secrétaire d’État de Barack Obama devient l’émissaire spécial de Joe Biden pour le climat. Biden qui a promis de revenir dès le premier jour dans l’Accord de Paris sur l'environnement.
Et puis une Afro-Américaine va devenir l’un des visages de cette nouvelle administration américaine : Linda Thomas-Greenfield, ancienne secrétaire d’État adjointe pour l’Afrique est nommée ambassadrice des États-Unis à l’ONU.
Une femme à la tête du renseignement national
À la tête du renseignement national : Avril Haines, 51 ans. C’est la première femme nommée à ce poste. Enfin, autre symbole fort après quatre années d’une politique farouchement anti-immigration : Alejandro Mayorkas, un immigré latino naturalisé est nommé à la tête du département de la Sécurité intérieure. Bref, les temps changent, commente sur Twitter une proche conseillère de Joe Biden.
Sous Barack Obama il était déjà au cœur de la diplomatie américaine : « Je connais bien Tony, dit l'ancien président démocrate, il a été mon conseil à la Sécurité nationale, il a aussi été le conseiller en politique étrangère de Joe quand Joe était mon vice-président. Il faisait partie de notre cercle rapproché et il était là dans toutes les réunions importantes. C’est quelqu’un d’extraordinaire. Intelligent. Courtois. Diplomate talentueux. Il est bien vu à travers le monde. Et je sais qu’il fera un super boulot. On sait aussi que Jack Sullivan sera conseiller à la Sécurité nationale. Lui aussi, extrêmement intelligent. Dynamique. Lui aussi sera extraordinaire. On est en train de voir se constituer une équipe en laquelle j’ai tout confiance. »
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Et puis une Afro-Américaine va devenir l’un des visages de cette nouvelle administration américaine : Linda Thomas-Greenfield, ancienne secrétaire d’État adjointe pour l’Afrique est nommée ambassadrice des États-Unis à l’ONU.
Une femme à la tête du renseignement national
À la tête du renseignement national : Avril Haines, 51 ans. C’est la première femme nommée à ce poste. Enfin, autre symbole fort après quatre années d’une politique farouchement anti-immigration : Alejandro Mayorkas, un immigré latino naturalisé est nommé à la tête du département de la Sécurité intérieure. Bref, les temps changent, commente sur Twitter une proche conseillère de Joe Biden.