A l’entendre parler, Charles Elie Moreau ne se réjouit guerre de la nomination du lead-vocal du Super Etoile au poste ministre de la Culture et du Tourisme. Il dit n’avoir pas grand-chose à dire, exceptés quelques commentaires qu’il exprime en ces termes : « Concernant les aptitudes ou pas de M. Youssou Ndour à administrer la culture et le tourisme, pour des raisons d’honnêteté intellectuelle, je préfère devoir juger sur pièce. Il ne s’est pas encore plié au rite de la passation de service et de déclinaison de tout ce qui serait sa feuille de route.
Dès lors, je lui accorde des préjugés favorables en espérant qu’il ne tombera point dans l’étroitesse d’esprit ». Le président de la commission Culture, Artisanat, Tourisme et Loisirs du Conseil économique et social ne s'arrête pas en si bon chemin et renchérit : « la culture ne se résume pas à la musique, aux droits d’auteurs, droits voisins, à la piraterie et à la frénésie de concerts et podiums à la Place de l’Obélisque, au boulevard Générale De Gaulle ou en des lieux apparentés. La culture est une globalité et monsieur mériterait d’en être, soigneusement et méthodologiquement, édifié. ».
Et de poursuivre : « Pour le tourisme, il lui faudra comprendre que le concept est pluriel : il y a le tourisme et les tourismes, et c’est à lui que revient de tout mettre …en musique. Réussir la culture et le tourisme, naturellement, reste du domaine des possibles. Il suffirait de très peu de choses et d’autant de compétences ! », conclut Elie Charles Moreau dans La Tribune.
Dès lors, je lui accorde des préjugés favorables en espérant qu’il ne tombera point dans l’étroitesse d’esprit ». Le président de la commission Culture, Artisanat, Tourisme et Loisirs du Conseil économique et social ne s'arrête pas en si bon chemin et renchérit : « la culture ne se résume pas à la musique, aux droits d’auteurs, droits voisins, à la piraterie et à la frénésie de concerts et podiums à la Place de l’Obélisque, au boulevard Générale De Gaulle ou en des lieux apparentés. La culture est une globalité et monsieur mériterait d’en être, soigneusement et méthodologiquement, édifié. ».
Et de poursuivre : « Pour le tourisme, il lui faudra comprendre que le concept est pluriel : il y a le tourisme et les tourismes, et c’est à lui que revient de tout mettre …en musique. Réussir la culture et le tourisme, naturellement, reste du domaine des possibles. Il suffirait de très peu de choses et d’autant de compétences ! », conclut Elie Charles Moreau dans La Tribune.