Nous avons besoin de savoir la vérité
Nous avons besoin de savoir pourquoi un homme comme toi
Si doux, si gentil, si plein d’humour et de vie
A-t-il été si lâchement assassiné
Au bout de cette longue et funeste nuit
Nous avons besoin de savoir pourquoi un homme comme toi
Qui propageait partout le rire et la joie de vivre
Et qui aimait croquer la vie à belles dents
Comme un enfant mordant la chair d’un fruit juteux
A-t-il été sauvagement poignardé dans le dos
Mbida, il nous faut savoir pourquoi un homme comme toi
Amoureux du théâtre et de tous les arts
Comédien de talent dont la vie tout entière
Ne fut elle-même qu’une belle œuvre d’art
Est-il tombé sous les coups de couteau de tueurs sans pitié
Qui sont-ils donc ces monstrueux assassins
Ces bourreaux cruels, sans cœur et sans pitié
Qui après avoir accompli leur sinistre forfait
Se sont fondus dans la nuit comme des fantômes maudits
Des vampires maléfiques et assoiffés de sang
Abandonnant leur victime à sa douloureuse agonie
Tel un Christ sacrifié à l’autel de la cruauté
Mbida tu es parti et nous avons le cœur meurtri
Nous tes frères, tes amis et tes compagnons de route
Oui, tu vas nous manquer et tu laisses un grand vide
Car plus jamais nous n’entendrons ta voix joyeuse
Et plus jamais ton rire heureux et contagieux
Ils vont nous manquer ton humour et ta bonne humeur
Mais nous ne pleurons pas car nous savons tous que la mort
Est le terme inéluctable où mènent tous les chemins
Tu n’as pas vécu en vain et tu vivras encore en nous
Car le vrai tombeau des morts, c’est le cœur des vivants
Ton grand-frère, ton ami,
Louis Camara
Nous avons besoin de savoir pourquoi un homme comme toi
Si doux, si gentil, si plein d’humour et de vie
A-t-il été si lâchement assassiné
Au bout de cette longue et funeste nuit
Nous avons besoin de savoir pourquoi un homme comme toi
Qui propageait partout le rire et la joie de vivre
Et qui aimait croquer la vie à belles dents
Comme un enfant mordant la chair d’un fruit juteux
A-t-il été sauvagement poignardé dans le dos
Mbida, il nous faut savoir pourquoi un homme comme toi
Amoureux du théâtre et de tous les arts
Comédien de talent dont la vie tout entière
Ne fut elle-même qu’une belle œuvre d’art
Est-il tombé sous les coups de couteau de tueurs sans pitié
Qui sont-ils donc ces monstrueux assassins
Ces bourreaux cruels, sans cœur et sans pitié
Qui après avoir accompli leur sinistre forfait
Se sont fondus dans la nuit comme des fantômes maudits
Des vampires maléfiques et assoiffés de sang
Abandonnant leur victime à sa douloureuse agonie
Tel un Christ sacrifié à l’autel de la cruauté
Mbida tu es parti et nous avons le cœur meurtri
Nous tes frères, tes amis et tes compagnons de route
Oui, tu vas nous manquer et tu laisses un grand vide
Car plus jamais nous n’entendrons ta voix joyeuse
Et plus jamais ton rire heureux et contagieux
Ils vont nous manquer ton humour et ta bonne humeur
Mais nous ne pleurons pas car nous savons tous que la mort
Est le terme inéluctable où mènent tous les chemins
Tu n’as pas vécu en vain et tu vivras encore en nous
Car le vrai tombeau des morts, c’est le cœur des vivants
Ton grand-frère, ton ami,
Louis Camara