«Nous faisons partie des leaders en matière de promotion d’énergie solaire et d’énergie éolienne de la région subsaharienne. Les défis structurels, auxquels nous sommes confrontés, sont caractérisés par un lourd fardeau financier sur le plan de l’affectation des ressources budgétaires et des efforts de planification stratégique pour résorber le gap entre une demande en croissance exponentielle et notre offre d’énergie.
La plupart des pays subaériens, non producteurs de pétrole supportent une très lourde facture pétrolière qui a toujours constitué une équation pour les finances publiques. Le ministre du budget cherche de l’argent pour compenser, en ce moment, la Senelec. Compte tenu de la décision du Chef de l’Etat de baisser jusqu’à 15% la facture des ménages. 80% de notre produit électrique repose sur l’énergie fossile que nous importons. Avec des centaines de milliards de francs Cfa, injectés à la Senelec, chaque année, au titre des compensations. Pour justement maintenir le coût abordable pour nos compatriotes", a-t-il expliqué.
Mahammad Boun Abdellah Dionne participait aux Grandes conférences du journal «Le Quotidien ». Il en a profité pour rassurer ceux qui croient ferme que le pétrole et le gaz sont une malédiction. « Demain, nous aurons du gaz et du pétrole. L’industrialisation sera possible, la transformation aussi. Parce qu’il y aura une stratégie de contenu local qui pourra alimenter des stratégies de développement du Gaz-Power. A partir du gaz, on pourra fabriquer ici de l’énergie, de l’électricité à bon prix. Le gaz et le pétrole seront une bénédiction et non une malédiction », a-t-il dit.
Boun Abdallah Dione révèle par ailleurs, que le Sénégal fera partie de 7 grandes économies d’Afrique. Et, ce nouveau Sénégal émergent se profilant de l’horizon, la compétence nationale sera inscrite au cœur du dispose d’exploitation des ressources pétrolières et gazières. Selon le chef du gouvernement, les sociétés d’exploitations du pétrole et du gaz auront l’obligation de choisir au moins 60% de sénégalais de leur personnel, 60% de compétence nationale dans toute la chaîne de valeur.
L’Observateur
La plupart des pays subaériens, non producteurs de pétrole supportent une très lourde facture pétrolière qui a toujours constitué une équation pour les finances publiques. Le ministre du budget cherche de l’argent pour compenser, en ce moment, la Senelec. Compte tenu de la décision du Chef de l’Etat de baisser jusqu’à 15% la facture des ménages. 80% de notre produit électrique repose sur l’énergie fossile que nous importons. Avec des centaines de milliards de francs Cfa, injectés à la Senelec, chaque année, au titre des compensations. Pour justement maintenir le coût abordable pour nos compatriotes", a-t-il expliqué.
Mahammad Boun Abdellah Dionne participait aux Grandes conférences du journal «Le Quotidien ». Il en a profité pour rassurer ceux qui croient ferme que le pétrole et le gaz sont une malédiction. « Demain, nous aurons du gaz et du pétrole. L’industrialisation sera possible, la transformation aussi. Parce qu’il y aura une stratégie de contenu local qui pourra alimenter des stratégies de développement du Gaz-Power. A partir du gaz, on pourra fabriquer ici de l’énergie, de l’électricité à bon prix. Le gaz et le pétrole seront une bénédiction et non une malédiction », a-t-il dit.
Boun Abdallah Dione révèle par ailleurs, que le Sénégal fera partie de 7 grandes économies d’Afrique. Et, ce nouveau Sénégal émergent se profilant de l’horizon, la compétence nationale sera inscrite au cœur du dispose d’exploitation des ressources pétrolières et gazières. Selon le chef du gouvernement, les sociétés d’exploitations du pétrole et du gaz auront l’obligation de choisir au moins 60% de sénégalais de leur personnel, 60% de compétence nationale dans toute la chaîne de valeur.
L’Observateur