La défaite des Lions face à la Guinée équatoriale est une pilule amère à avaler pour El Hadji Diouf. Avec le franc-parler qu'on lui connaît, l'ancien international s’est encore attaqué au staff technique de l’équipe national qui, selon lui, est responsable du malheur des joueurs. «Je savais dès le début qu’on n’allait nulle part, mais je supporte mon pays. Cette équipe me collera tout le temps, à vie.
Comment peut-on inviter les joueurs à une soirée de gala la veille d’un match amical. Ils ont voulu faire beaucoup autour du football et sont sortis du cadre du sport. Ils ont fait n’importe quoi. Je suis dégoûté pour les joueurs parce qu’ils ont le potentiel, même s’il fait reconnaître qu’il n’y avait pas d’âme dans cette équipe, encore moins de leader», dit-il dans «L’Observateur». Selon El Hadji Diouf, le malheur dans cette équipe est que personne ne sait pas qui est titulaire et qui ne l’est pas.
«Dans une équipe, il y a des joueurs qui se sentent titulaires et les autres, ils viennent petit à petit», renseigne-t-il. Sa conviction est que «si on garde les même types (le staff technique), en 2013, on n’ira nulle part. La ligne de conduite, c’est quoi, le respect à l’hôtel, aller à la mosquée ensemble…, mais le but du jeu, c’est de gagner. Ce n’est pas cela le football. Je n’ai rien à reprocher aux joueurs, mais ils n’ont pas d’entraîneur pour les galvaniser». Un entraîneur qui sait les utiliser.
Comment peut-on inviter les joueurs à une soirée de gala la veille d’un match amical. Ils ont voulu faire beaucoup autour du football et sont sortis du cadre du sport. Ils ont fait n’importe quoi. Je suis dégoûté pour les joueurs parce qu’ils ont le potentiel, même s’il fait reconnaître qu’il n’y avait pas d’âme dans cette équipe, encore moins de leader», dit-il dans «L’Observateur». Selon El Hadji Diouf, le malheur dans cette équipe est que personne ne sait pas qui est titulaire et qui ne l’est pas.
«Dans une équipe, il y a des joueurs qui se sentent titulaires et les autres, ils viennent petit à petit», renseigne-t-il. Sa conviction est que «si on garde les même types (le staff technique), en 2013, on n’ira nulle part. La ligne de conduite, c’est quoi, le respect à l’hôtel, aller à la mosquée ensemble…, mais le but du jeu, c’est de gagner. Ce n’est pas cela le football. Je n’ai rien à reprocher aux joueurs, mais ils n’ont pas d’entraîneur pour les galvaniser». Un entraîneur qui sait les utiliser.