« Il y a 5 ans, j’effectuais une simple visite à Saint-Louis avec ma famille. L’art sur les pirogues m’a émerveillé. J’ai compris que c’était cela, la matière première dont j’avais besoin. J’ai commencé à transformer les bois des vieilles pirogues épuisées, en objet de décoration », explique le designer Ramon LLONCH VILALTA, fondateur du collectif « ARTLANTIQUE ».
« Âpres avoir présenté ce projet dans plusieurs universités européennes en 2015, nous avons décidé de lui donner une dimension académique », a-t-il dit. L’objectif de cette initiative qui connaitra vite un grand succès, est de « rapprocher la créativité africaine aux jeunes designers européens »
« Ceci nous a permis d’organiser un premier workshop entre designers, créateurs africains et européens », ajoute Ramon capitalise une expérience de plus d’une vingtaine d’années de création dans les pays d’Asie.
En périple l’année dernière, durant le Festival international de Jazz de Saint-Louis, Ramon LLONCH VILALTA est tombé sur le charme des artisans locaux, en visitant leur stand sur la Place Faidherbe. De l’émerveillement devant l’ingéniosité débordante des créateurs Saint-Louisiens, jaillit le partenariat avec NDART.
« Root Artlantique », l’école itinérante de Saint-Louis qui s’est ouvert lundi, bâtie sur les fondements de la synergie artistique entre NDART et le collectif d’artistes européens, matérialise les visions croisées et entre les deux structures qui dessinent ensemble de nouvelles perspectives.
« Notre mission est de valoriser le travail des artistes et de l’exporter », renseigne Fatima FALL, présidente de NDART. Cette structure qui s’active à travers plusieurs manifestations culturelles, aide les artisans Saint-Louisiens à organiser leur travail et à se professionnaliser.
« Il faut que les artisans prennent conscience de l’importance de leur travail, qu’ils puissent l’expliquer et le vendre », a jouté la directrice du Centre de Recherches et de Documentation du Sénégal (CRDS).
NDARINFO.COM
« Âpres avoir présenté ce projet dans plusieurs universités européennes en 2015, nous avons décidé de lui donner une dimension académique », a-t-il dit. L’objectif de cette initiative qui connaitra vite un grand succès, est de « rapprocher la créativité africaine aux jeunes designers européens »
« Ceci nous a permis d’organiser un premier workshop entre designers, créateurs africains et européens », ajoute Ramon capitalise une expérience de plus d’une vingtaine d’années de création dans les pays d’Asie.
En périple l’année dernière, durant le Festival international de Jazz de Saint-Louis, Ramon LLONCH VILALTA est tombé sur le charme des artisans locaux, en visitant leur stand sur la Place Faidherbe. De l’émerveillement devant l’ingéniosité débordante des créateurs Saint-Louisiens, jaillit le partenariat avec NDART.
« Root Artlantique », l’école itinérante de Saint-Louis qui s’est ouvert lundi, bâtie sur les fondements de la synergie artistique entre NDART et le collectif d’artistes européens, matérialise les visions croisées et entre les deux structures qui dessinent ensemble de nouvelles perspectives.
« Notre mission est de valoriser le travail des artistes et de l’exporter », renseigne Fatima FALL, présidente de NDART. Cette structure qui s’active à travers plusieurs manifestations culturelles, aide les artisans Saint-Louisiens à organiser leur travail et à se professionnaliser.
« Il faut que les artisans prennent conscience de l’importance de leur travail, qu’ils puissent l’expliquer et le vendre », a jouté la directrice du Centre de Recherches et de Documentation du Sénégal (CRDS).
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