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Après la sortie détonante de son nouveau remix « Thiono Aduna » qui annonce, en grosse pompe, l’album « Ndioukeul », Abdou Guité Seck actionne la promotion de son nouveau produit en ouvrant le rideau dans sa ville natale. Il a profité de son séjour à NDAR pour accorder un entretien exclusif à NDARINFO, le portail de Saint-Louis.
Une interview dans lequel l’enfant chéri de la ville livre, sans anathème, ses impressions sur la situation de son terroir. Appréciant de la gestion de la ville, Abdou Guité invite les autorités à redoubler d’efforts pour renforcer la splendeur de sa ville. « Saint-Louis est une valeur touristique et économique forte. C’est une porte qui donne accès au monde », a-t-il dit.
L’artiste compositeur qui prépare une vaste tournée internationale a réaffirmé l’amour viscéral qu’il poste pour sa ville, en rappelant que ses périples à travers les quatre coins du monde visent, d’abord, à vendre la destination Saint-Louisienne.
« Le Festival de jazz ne m’a jamais sollicité mon concours pour venir exposer mon talent et participer à vendre l’image de la ville », a par ailleurs regretté le frère de Diabou SECK « La Saint-Louisienne ». « Si j’ai eu la chance de monter sur ce podium, c’est grâce à des Européens qui cherchaient des pépites de talents musicaux dans la ville » a-t-il ajouté.
Entretien !
Une interview dans lequel l’enfant chéri de la ville livre, sans anathème, ses impressions sur la situation de son terroir. Appréciant de la gestion de la ville, Abdou Guité invite les autorités à redoubler d’efforts pour renforcer la splendeur de sa ville. « Saint-Louis est une valeur touristique et économique forte. C’est une porte qui donne accès au monde », a-t-il dit.
L’artiste compositeur qui prépare une vaste tournée internationale a réaffirmé l’amour viscéral qu’il poste pour sa ville, en rappelant que ses périples à travers les quatre coins du monde visent, d’abord, à vendre la destination Saint-Louisienne.
« Le Festival de jazz ne m’a jamais sollicité mon concours pour venir exposer mon talent et participer à vendre l’image de la ville », a par ailleurs regretté le frère de Diabou SECK « La Saint-Louisienne ». « Si j’ai eu la chance de monter sur ce podium, c’est grâce à des Européens qui cherchaient des pépites de talents musicaux dans la ville » a-t-il ajouté.
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