La croisade contre la dégradation de l’environnement et la détérioration programmée des ressources naturelles, lancée par le GIE BOKK DIOM du village de DIELE MBAME (commune de GANDIOL), se poursuit, grâce au soutien du Fonds mondial pour l’Environnement (FEM). Ce jeudi, une forte mobilisation villageoise a pris d’assaut les berges du fleuve où des milliers de palétuviers y ont été plantés.
En a croire, El Hadji Sène DIAGNE, le président du GIE BOKK DIOM, la dynamique enclenchée va se poursuivre et les reboisements de la mangrove vont se renforcer.
« Chaque semaine, nous planterons plus de 2 à 3 hectares », a promis M. DIAGNE qui s’est fortement réjoui de l’implication des hommes et femmes du village.
« Aujourd’hui, en plus du FEM, d’autres partenaires viennent nous appuyer dans notre dynamique collective engagée pour protéger l’environnement », a-t-il dit, en insistant sur l’apport considérable de cet écosystème dans la lutte contre la pauvreté.
En effet, à DIELE MBAME, la culture des huîtres et la pêche des crevettes se sont fortement développées avec l’extension des espaces occupés par la mangrove et à la suite de plusieurs mobilisations citoyennes des habitants qui ont pris conscience des énormes trésors cachés dans cette ressource environnementale.
Ces activités développées par des groupements de femmes génèrent d’importantes ressources financières qui ont amélioré positivement les conditions de vie de ces populations.
DIELE MBAME s’érige ainsi en modèle du fait de son engagement fort, devant les localités du Sénégal où cet écosystème est menacé.
« Nous sommes prêts à partager nos connaissances et diffuser nos expériences pour que la mangrove ne soit plus jamais assassinée », a promis M. DIAGNE.
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> DIELE MBAME, SENTINELLE DE l’ENVIRONNEMENT : 2.000 eucalyptus plantés par une mobilisation citoyenne
En a croire, El Hadji Sène DIAGNE, le président du GIE BOKK DIOM, la dynamique enclenchée va se poursuivre et les reboisements de la mangrove vont se renforcer.
« Chaque semaine, nous planterons plus de 2 à 3 hectares », a promis M. DIAGNE qui s’est fortement réjoui de l’implication des hommes et femmes du village.
« Aujourd’hui, en plus du FEM, d’autres partenaires viennent nous appuyer dans notre dynamique collective engagée pour protéger l’environnement », a-t-il dit, en insistant sur l’apport considérable de cet écosystème dans la lutte contre la pauvreté.
En effet, à DIELE MBAME, la culture des huîtres et la pêche des crevettes se sont fortement développées avec l’extension des espaces occupés par la mangrove et à la suite de plusieurs mobilisations citoyennes des habitants qui ont pris conscience des énormes trésors cachés dans cette ressource environnementale.
Ces activités développées par des groupements de femmes génèrent d’importantes ressources financières qui ont amélioré positivement les conditions de vie de ces populations.
DIELE MBAME s’érige ainsi en modèle du fait de son engagement fort, devant les localités du Sénégal où cet écosystème est menacé.
« Nous sommes prêts à partager nos connaissances et diffuser nos expériences pour que la mangrove ne soit plus jamais assassinée », a promis M. DIAGNE.
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