Ahmet Sène DIAGNE de Doune Baba DIEYE( en caftan) avec Djibril COULIBALY (Khor Usine)
Des femmes, membres de groupements de femmes à Khor, ont pu s’imprégner des impacts positifs de la mangrove sur l’environnement. S’inspirant du dynamisme des dames de Doune Baba DIEYE matérialisé par les séries de reboisement de cet écosystème, les « Khoroises » désormais déterminées, ont réitéré leur volonté d’œuvrer pour la renaissance de l’ile de « Dioukk », considérée comme le village naturel des bambaras.
« Cette ile faisait 482 hectares en 1919. Aujourd’hui, il s’est gravement rétréci et ne fais plus de 200 ha, à cause de l’érosion éolienne, hydrique, et les déboisements causés par les hommes », a expliqué Djibril COULIBALY, président du GIE Action, Solidarité et Développement, basé à Khor.
M. COULIBALY dont l’engagement dans la promotion féminine et la protection de l’environnement à Khor ont été salués par ses concitoyennes, a insisté sur la grande opportunité que leur offre le projet Gizc, de bénéficier des connaissances pratiques du chef de village de Doune Baba DIEYE.
Cette collaboration entre les deux localités historiques de Saint-Louis est l’aboutissement d’un long processus dont le point a été la visite du M. COULIBALY au mythique village de Doune Baba DIEYE, dévasté par la mer après l’ouverture du canal de délestage en 2003.
« Nous sommes venus leur montrer ce qu’est l’environnement et développer leur connaissance dans ce domaine. La mangrove est d’une importance capitale. Elle permet de lutter contre la pollution et le goitre endémique », a insisté Ahmet Sène DIAGNE qui rappelle l’utilité de cette flore dans le développement des poissons, huitres et crevettes.
Ce projet d’une durée de 6 mois est un programme national déroulé par le gouvernement du Sénégal, financé par l’Union européenne.
« Son objectif est de protéger les zones côtières qui sont sous l’influence de facteurs néfastes qui, à long terme, si l’on n’en prend pas garde, risque de réduire considérablement le continent et par ricochet avec des conséquences néfastes sur les populations », a indiqué Cheikh Ahmadou NDIAYE, son coordonnateur.
Suivez le film de ce partage d’expériences et les photos de la cérémonie
NDARINFO.COM
« Cette ile faisait 482 hectares en 1919. Aujourd’hui, il s’est gravement rétréci et ne fais plus de 200 ha, à cause de l’érosion éolienne, hydrique, et les déboisements causés par les hommes », a expliqué Djibril COULIBALY, président du GIE Action, Solidarité et Développement, basé à Khor.
M. COULIBALY dont l’engagement dans la promotion féminine et la protection de l’environnement à Khor ont été salués par ses concitoyennes, a insisté sur la grande opportunité que leur offre le projet Gizc, de bénéficier des connaissances pratiques du chef de village de Doune Baba DIEYE.
Cette collaboration entre les deux localités historiques de Saint-Louis est l’aboutissement d’un long processus dont le point a été la visite du M. COULIBALY au mythique village de Doune Baba DIEYE, dévasté par la mer après l’ouverture du canal de délestage en 2003.
« Nous sommes venus leur montrer ce qu’est l’environnement et développer leur connaissance dans ce domaine. La mangrove est d’une importance capitale. Elle permet de lutter contre la pollution et le goitre endémique », a insisté Ahmet Sène DIAGNE qui rappelle l’utilité de cette flore dans le développement des poissons, huitres et crevettes.
Ce projet d’une durée de 6 mois est un programme national déroulé par le gouvernement du Sénégal, financé par l’Union européenne.
« Son objectif est de protéger les zones côtières qui sont sous l’influence de facteurs néfastes qui, à long terme, si l’on n’en prend pas garde, risque de réduire considérablement le continent et par ricochet avec des conséquences néfastes sur les populations », a indiqué Cheikh Ahmadou NDIAYE, son coordonnateur.
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