L’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par le Président de la République, ce 12 septembre 2024, ouvre un nouveau chapitre dans notre histoire politique et institutionnelle. Tout en respectant la légalité, la forme n’en demeure pas moins disgracieuse et inélégante démocratiquement parlant.
Elle apparaît comme une ruse qui faiblit la parole du Chef de l’Etat et relègue au rang d’un simple subordonné de son Premier ministre. Par ailleurs, la ruse ne saurait fonder une décision aussi importante et marquante dans la vie de nos institutions. Après la dernière élection présidentielle et les épisodes récents qui ont placé le Parlement au cœur des controverses, les Sénégalais ont la possibilité, désormais, de voter massivement pour une Assemblée nationale qui joue pleinement son rôle.
Soucieuse de l’équilibre des pouvoirs et d’une vie démocratique propice aux débats centrés uniquement sur les préoccupations et les attentes des populations, la Nouvelle Responsabilité lance un appel à l’ensemble des Sénégalaises et Sénégalais pour relever le défi d’une Assemblée nationale capable d’imposer une nouvelle dynamique parlementaire porteuse de progrès social et de développement partagé par sa capacité de légiférer conformément aux intérêts de notre peuple. Notre expérience la plus récente indique clairement que l’ère du pouvoir absolu est révolue et que l’équilibre de notre société réside dans une juste et ingénieuse répartition des centres de prise de décision.
C’est d’ailleurs une condition pour nous mettre à l’abri des dysfonctionnements institutionnels préjudiciables au système démocratique. Mobilisés autour du Président Amadou BA, nous affirmons avec force notre participation assurée au scrutin du 17 novembre 2024 et notre volonté de constituer, sans exclusive, avec d’autres forces politiques, des alliances solides, en vue d’assurer une victoire nette de l’opposition.
Les forces vives de notre pays doivent ouvrir une nouvelle page où le dialogue institutionnel, fondé sur la légalité et la légitimité des acteurs, garantira un climat apaisé propice au développement de notre pays ».
Elle apparaît comme une ruse qui faiblit la parole du Chef de l’Etat et relègue au rang d’un simple subordonné de son Premier ministre. Par ailleurs, la ruse ne saurait fonder une décision aussi importante et marquante dans la vie de nos institutions. Après la dernière élection présidentielle et les épisodes récents qui ont placé le Parlement au cœur des controverses, les Sénégalais ont la possibilité, désormais, de voter massivement pour une Assemblée nationale qui joue pleinement son rôle.
Soucieuse de l’équilibre des pouvoirs et d’une vie démocratique propice aux débats centrés uniquement sur les préoccupations et les attentes des populations, la Nouvelle Responsabilité lance un appel à l’ensemble des Sénégalaises et Sénégalais pour relever le défi d’une Assemblée nationale capable d’imposer une nouvelle dynamique parlementaire porteuse de progrès social et de développement partagé par sa capacité de légiférer conformément aux intérêts de notre peuple. Notre expérience la plus récente indique clairement que l’ère du pouvoir absolu est révolue et que l’équilibre de notre société réside dans une juste et ingénieuse répartition des centres de prise de décision.
C’est d’ailleurs une condition pour nous mettre à l’abri des dysfonctionnements institutionnels préjudiciables au système démocratique. Mobilisés autour du Président Amadou BA, nous affirmons avec force notre participation assurée au scrutin du 17 novembre 2024 et notre volonté de constituer, sans exclusive, avec d’autres forces politiques, des alliances solides, en vue d’assurer une victoire nette de l’opposition.
Les forces vives de notre pays doivent ouvrir une nouvelle page où le dialogue institutionnel, fondé sur la légalité et la légitimité des acteurs, garantira un climat apaisé propice au développement de notre pays ».