Cette structure qui polarise aujourd’hui plusieurs quartiers de la vieille cité dont les plus populeux sollicite l’appui du Gouvernement pour bénéficier des nouveaux fonds d’appui aux initiatives privées tels que le Fongip et le Fonsis.
De Diamaguene à Pikine en passant par Darou, Guet-Ndar, entre autres sites-dortoirs de la ville de Saint-Louis ‘Liggey Ngir Suqali Askanwi’(LSAS) est surtout connu des populations par ses actions de développement à la base.
Outre la préservation et l’amélioration du cadre de vie (assainissement), l’appui à l’équipement de postes de santé, l’aide à la construction d’écoles coraniques (daaras) ou la restauration de lieux de culte, ce regroupement qui revendique actuellement plus de 2000 membres s’est aussi distingué dans l’autonomisation économique et financière des Jeunes sans emploi et des Femmes vulnérables dans la ville tricentenaire.
D’après Mr Diop, membre du bureau exécutif de LSAS, nombre de jeunes garçons s’activent aujourd’hui grâce à l’implantation d’unités de sérigraphie et de production d’eau minérale sans compter la réalisation de diverses prestations de services toutes destinées à améliorer les conditions de vie de cette frange importante de la population. Mieux, ces initiatives de promotion économique et sociale ont favorisé une sédentarisation des jeunes en leur offrant des opportunités d’être utiles à leurs terroirs, explique avec force détails M .Diop.
C’est sous ce même angle qu’il faut aussi lire l’appui à l’entreprenariat féminin et au renforcement de capacités qui a permis à des centaines de groupements de développer des activités génératrices de revenus et de renforcer leur pouvoir de décision, précise la présidente de la fédération de groupements de femmes, membres de LSAS.
« Grâce à la mise en relation de LSAS, 1200 femmes ont pu disposer d’un crédit revolving et d’une formation dans le but d’accroître leurs revenus. Ainsi donc, ces femmes ont non seulement renforcé leur pouvoir économique mais aussi permis d’étendre ce réseau à d’autres groupements .Cet appui nous a ôté une grosse épine du pied. D’autant plus que c’est un secret de polichinelle que la survie des ménages repose de plus en plus sur les épaules des femmes dans les centres urbains » souligne Mme Maïmouna SARR, très optimiste quant à l’avenir.
Et d’ajouter : « Si tout ce chemin a pu être parcouru avec succès en direction de l’auto-développement et de l’affirmation d’une citoyenneté responsable c’est grâce au soutien d’un digne fils du terroir, Cheikh Moussa Camara dit Baye Camara. Initiateur et acteur de cette exaltante expérience qui a suscité une dynamique solidaire et une participation volontariste dans la prise en charge des préoccupations à la base, M. Camara a encadré et mis l’Association sur l’orbite du développement endogène ».
Néanmoins, Liggey Suqali Askanwi veut aujourd’hui faire un saut qualitatif afin de mieux coller aux nouvelles mutations de l’environnement socio économique local et national. D’où l’intérêt de son appel en direction des partenaires au développement et particulièrement au gouvernement de Macky Sall, invité à soutenir efficacement de pareilles initiatives.
«Nous voulons bénéficier des nouveaux programmes tels que le Fongip et Fonsis pour nous engager pleinement dans la voie du développement .Nous pensons qu’il est grand temps que Saint-Louis puisse disposer de Petites et Moyennes Entreprises dynamiques et pourvoyeuses d’emplois et de services qualifiés. Jusqu’ici, les gens se voient obligés d’aller à Dakar pour certains travaux que des jeunes de la ville maîtrisent parfaitement. Ceci, faute de plateformes adaptées » fait remarquer cet autre bénéficiaire de l’appui de ‘Liggey Ngir Suqali Askanwi’.
37.000.000 FCFA à 300 femmes de Saint-Louis.
Après le succès de la première phase qui avait permis de toucher prés de mille deux cent (1200) femmes à travers une centaine de groupements -membres, l’Association Liggey Ngir Suqali Askanwi(LSAS) pose un jalon supplémentaire dans la prise en charge des couches vulnérables de la population de la vieille cité. Cette organisation de développement à la base vient de signer avec l’institution de microcrédit Pamécas une nouvelle convention de financement de trente sept millions(37.000.000) de FCFA, au profit de trois cents femmes. Ces dernières évoluant dans les secteurs de l’artisanat, du commerce et de la transformation des produits primaires vont ainsi bénéficier d’un crédit revolving individuel.
Une bouffée d’oxygène pour ces acteurs de développement connus pour leur dynamisme. Mieux, entre LSAS et Pamécas, c’est parti pour un partenariat fécond et durable. Comme l’ont souligné les responsables de cette structure de financement décentralisé, vendredi dernier, à l’occasion de la cérémonie de paraphe dudit protocole d’accord. Pour le vice-président de l’Association, l’accompagnement de ce partenaire stratégique vient à point nommé car, LSAS s’active dans de nombreux domaines de la vie économique et sociale.
En effet, à travers sa Fondation Pamecas, entend appuyer les actions citoyennes promues par LSAS. Lentement mais sûrement, LSAS poursuit son maillage au niveau des différents quartiers de Saint-Louis. Une bonne nouvelle pour l’éclosion et la promotion d’initiatives de développement endogène.
De Diamaguene à Pikine en passant par Darou, Guet-Ndar, entre autres sites-dortoirs de la ville de Saint-Louis ‘Liggey Ngir Suqali Askanwi’(LSAS) est surtout connu des populations par ses actions de développement à la base.
Outre la préservation et l’amélioration du cadre de vie (assainissement), l’appui à l’équipement de postes de santé, l’aide à la construction d’écoles coraniques (daaras) ou la restauration de lieux de culte, ce regroupement qui revendique actuellement plus de 2000 membres s’est aussi distingué dans l’autonomisation économique et financière des Jeunes sans emploi et des Femmes vulnérables dans la ville tricentenaire.
D’après Mr Diop, membre du bureau exécutif de LSAS, nombre de jeunes garçons s’activent aujourd’hui grâce à l’implantation d’unités de sérigraphie et de production d’eau minérale sans compter la réalisation de diverses prestations de services toutes destinées à améliorer les conditions de vie de cette frange importante de la population. Mieux, ces initiatives de promotion économique et sociale ont favorisé une sédentarisation des jeunes en leur offrant des opportunités d’être utiles à leurs terroirs, explique avec force détails M .Diop.
C’est sous ce même angle qu’il faut aussi lire l’appui à l’entreprenariat féminin et au renforcement de capacités qui a permis à des centaines de groupements de développer des activités génératrices de revenus et de renforcer leur pouvoir de décision, précise la présidente de la fédération de groupements de femmes, membres de LSAS.
« Grâce à la mise en relation de LSAS, 1200 femmes ont pu disposer d’un crédit revolving et d’une formation dans le but d’accroître leurs revenus. Ainsi donc, ces femmes ont non seulement renforcé leur pouvoir économique mais aussi permis d’étendre ce réseau à d’autres groupements .Cet appui nous a ôté une grosse épine du pied. D’autant plus que c’est un secret de polichinelle que la survie des ménages repose de plus en plus sur les épaules des femmes dans les centres urbains » souligne Mme Maïmouna SARR, très optimiste quant à l’avenir.
Et d’ajouter : « Si tout ce chemin a pu être parcouru avec succès en direction de l’auto-développement et de l’affirmation d’une citoyenneté responsable c’est grâce au soutien d’un digne fils du terroir, Cheikh Moussa Camara dit Baye Camara. Initiateur et acteur de cette exaltante expérience qui a suscité une dynamique solidaire et une participation volontariste dans la prise en charge des préoccupations à la base, M. Camara a encadré et mis l’Association sur l’orbite du développement endogène ».
Néanmoins, Liggey Suqali Askanwi veut aujourd’hui faire un saut qualitatif afin de mieux coller aux nouvelles mutations de l’environnement socio économique local et national. D’où l’intérêt de son appel en direction des partenaires au développement et particulièrement au gouvernement de Macky Sall, invité à soutenir efficacement de pareilles initiatives.
«Nous voulons bénéficier des nouveaux programmes tels que le Fongip et Fonsis pour nous engager pleinement dans la voie du développement .Nous pensons qu’il est grand temps que Saint-Louis puisse disposer de Petites et Moyennes Entreprises dynamiques et pourvoyeuses d’emplois et de services qualifiés. Jusqu’ici, les gens se voient obligés d’aller à Dakar pour certains travaux que des jeunes de la ville maîtrisent parfaitement. Ceci, faute de plateformes adaptées » fait remarquer cet autre bénéficiaire de l’appui de ‘Liggey Ngir Suqali Askanwi’.
37.000.000 FCFA à 300 femmes de Saint-Louis.
Après le succès de la première phase qui avait permis de toucher prés de mille deux cent (1200) femmes à travers une centaine de groupements -membres, l’Association Liggey Ngir Suqali Askanwi(LSAS) pose un jalon supplémentaire dans la prise en charge des couches vulnérables de la population de la vieille cité. Cette organisation de développement à la base vient de signer avec l’institution de microcrédit Pamécas une nouvelle convention de financement de trente sept millions(37.000.000) de FCFA, au profit de trois cents femmes. Ces dernières évoluant dans les secteurs de l’artisanat, du commerce et de la transformation des produits primaires vont ainsi bénéficier d’un crédit revolving individuel.
Une bouffée d’oxygène pour ces acteurs de développement connus pour leur dynamisme. Mieux, entre LSAS et Pamécas, c’est parti pour un partenariat fécond et durable. Comme l’ont souligné les responsables de cette structure de financement décentralisé, vendredi dernier, à l’occasion de la cérémonie de paraphe dudit protocole d’accord. Pour le vice-président de l’Association, l’accompagnement de ce partenaire stratégique vient à point nommé car, LSAS s’active dans de nombreux domaines de la vie économique et sociale.
En effet, à travers sa Fondation Pamecas, entend appuyer les actions citoyennes promues par LSAS. Lentement mais sûrement, LSAS poursuit son maillage au niveau des différents quartiers de Saint-Louis. Une bonne nouvelle pour l’éclosion et la promotion d’initiatives de développement endogène.