Insistant sur l’urgence d’éradiquer le fléau aux conséquences multiples sur l’environnement, l’élue départementale d’indiquer que le péril plastique constitue «un véritable dilemme écologique et de développement durable».
«Il a été démontré que les ménages sénégalais utilisent chaque jour en moyenne 5 millions de sachets plastiques, ce qui constitue une calamité», soulignera-t-elle. Avant d’insister sur l’implication forte des entreprises, des pouvoirs publics pour éradiquer le fléau.
De l’urgence de trouver un mécanisme pour ramasser et recycler les déchets plastiques
Ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal, Joaquin Gonzales-Ducay pour sa part estime que le pays de la téranga a un gap considérable à rattraper en termes de lutte contre le péril plastique. «Les activités humaines sont à l’origine de la prolifération des plastiques. Ce phénomène a de graves conséquences sur nous tous. Nous ressentons ces conséquences dans notre vie de tous les jours. Notre environnement se dégrade sous nos yeux», fera-t-il constater.
Pour y arriver, «Seule la volonté de tous pourra atténuer la pollution plastique à travers la réduction de l’utilisation du plastique, leur ramassage et le recyclage», recommande Joaquin Gonzales-Ducay dans son allocution.
A titre d’exemple, dans la Baie de Hann à Dakar, l’Union européenne (Ue) finance un projet pour collecter et réduire les déchets, dit-il. L’Ue a également initié récemment un échange avec les acteurs de la pêche artisanale, avec les administrations, des chercheurs et des entrepreneurs afin de créer des synergies entre les communautés de pêcheurs et les acteurs du recyclage.
«Il est urgent de trouver un mécanisme pour ramasser les déchets plastiques, les recycler, créer de la richesse et trouver ainsi un environnement sain pour nous et les générations à venir», insiste l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal devant le ministre de l’Environnement, Mame Thierno Dieng.
Le plastique, conclut-il, a une durée de vie plus longue que la nôtre».
SENEWEB
«Il a été démontré que les ménages sénégalais utilisent chaque jour en moyenne 5 millions de sachets plastiques, ce qui constitue une calamité», soulignera-t-elle. Avant d’insister sur l’implication forte des entreprises, des pouvoirs publics pour éradiquer le fléau.
De l’urgence de trouver un mécanisme pour ramasser et recycler les déchets plastiques
Ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal, Joaquin Gonzales-Ducay pour sa part estime que le pays de la téranga a un gap considérable à rattraper en termes de lutte contre le péril plastique. «Les activités humaines sont à l’origine de la prolifération des plastiques. Ce phénomène a de graves conséquences sur nous tous. Nous ressentons ces conséquences dans notre vie de tous les jours. Notre environnement se dégrade sous nos yeux», fera-t-il constater.
Pour y arriver, «Seule la volonté de tous pourra atténuer la pollution plastique à travers la réduction de l’utilisation du plastique, leur ramassage et le recyclage», recommande Joaquin Gonzales-Ducay dans son allocution.
A titre d’exemple, dans la Baie de Hann à Dakar, l’Union européenne (Ue) finance un projet pour collecter et réduire les déchets, dit-il. L’Ue a également initié récemment un échange avec les acteurs de la pêche artisanale, avec les administrations, des chercheurs et des entrepreneurs afin de créer des synergies entre les communautés de pêcheurs et les acteurs du recyclage.
«Il est urgent de trouver un mécanisme pour ramasser les déchets plastiques, les recycler, créer de la richesse et trouver ainsi un environnement sain pour nous et les générations à venir», insiste l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal devant le ministre de l’Environnement, Mame Thierno Dieng.
Le plastique, conclut-il, a une durée de vie plus longue que la nôtre».
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