Selon la DPEE, cette situation est en liaison avec les améliorations simultanées des composantes artisanale (+23,5%) et industrielle (+6,3%). « La progression des débarquements de la pêche artisanale traduit les performances de la région de Thiès (+89,9%), toutefois, atténuées par les faibles résultats notés à Dakar (-10,2%) et Saint-Louis (-37,8%) », souligne la DPEE.
Dans cette dernière région, ajoute cette structure, les phénomènes biologiques, environnementaux et climatiques ont été peu favorables sur la période.
Concernant la pêche industrielle, d’importants débarquements de seiche, sole, rouget, raie, filet de poisson plat et poulpes (+15,1%), sardinelles, maquereaux et chinchards (+684,0%) et de thon (+34,8%) sont enregistrés entre les deux premiers trimestres de 2019, à la faveur d’un nombre élevé d’entrées de navires au port de Dakar (1218 entrées contre 956 entrées au trimestre précédent).
Au total, l’augmentation de l’offre a entraîné une baisse des prix du poisson frais de 13,3% sur la période.
Sur une base annuelle, l’activité de pêche s’est raffermie de 12,2%, au deuxième trimestre 2019 et de 15,5% sur le premier semestre 2019, en rapport avec la bonne orientation des prises artisanales (+11,8% au deuxième trimestre et 15,4% sur le premier semestre) et industrielles (+13,0% au deuxième trimestre et 15,5% sur le premier semestre). La performance semestrielle de la pêche artisanale est portée par les régions de Saint-Louis (+621,0%), Ziguinchor (+14,2%), Thiès (+5,6%) et Dakar (+5,7%).
A Saint- Louis, les accords de pêche avec la Mauritanie ont favorisé les captures tandis qu’à Dakar le redémarrage du quai inactif de Thiaroye, conjugué à l’augmentation de l’effort de pêche ainsi qu’au dynamisme des filets et lignes ont soutenu l’activité, dans un contexte de grande campagne sur la côte nord.
S’agissant du volet industriel, les données de la DPEE indiquent que les prises de seiche, sole, rouget, raie, filet de poisson plat et poulpes (+37,6%) et de thon (+24,7%) se sont considérablement accrues, boostées par l’enregistrement de nouveaux navires et le retour d’acteurs qui avaient délaissé le port de Dakar pour des concurrents sous régionaux.
APANEWS
Dans cette dernière région, ajoute cette structure, les phénomènes biologiques, environnementaux et climatiques ont été peu favorables sur la période.
Concernant la pêche industrielle, d’importants débarquements de seiche, sole, rouget, raie, filet de poisson plat et poulpes (+15,1%), sardinelles, maquereaux et chinchards (+684,0%) et de thon (+34,8%) sont enregistrés entre les deux premiers trimestres de 2019, à la faveur d’un nombre élevé d’entrées de navires au port de Dakar (1218 entrées contre 956 entrées au trimestre précédent).
Au total, l’augmentation de l’offre a entraîné une baisse des prix du poisson frais de 13,3% sur la période.
Sur une base annuelle, l’activité de pêche s’est raffermie de 12,2%, au deuxième trimestre 2019 et de 15,5% sur le premier semestre 2019, en rapport avec la bonne orientation des prises artisanales (+11,8% au deuxième trimestre et 15,4% sur le premier semestre) et industrielles (+13,0% au deuxième trimestre et 15,5% sur le premier semestre). La performance semestrielle de la pêche artisanale est portée par les régions de Saint-Louis (+621,0%), Ziguinchor (+14,2%), Thiès (+5,6%) et Dakar (+5,7%).
A Saint- Louis, les accords de pêche avec la Mauritanie ont favorisé les captures tandis qu’à Dakar le redémarrage du quai inactif de Thiaroye, conjugué à l’augmentation de l’effort de pêche ainsi qu’au dynamisme des filets et lignes ont soutenu l’activité, dans un contexte de grande campagne sur la côte nord.
S’agissant du volet industriel, les données de la DPEE indiquent que les prises de seiche, sole, rouget, raie, filet de poisson plat et poulpes (+37,6%) et de thon (+24,7%) se sont considérablement accrues, boostées par l’enregistrement de nouveaux navires et le retour d’acteurs qui avaient délaissé le port de Dakar pour des concurrents sous régionaux.
APANEWS