Des informations recueillies auprès des pécheurs saint-louisiens font état de l’ouverture naturelle de deux nouvelles brèches sur la langue de barbarie. Ce phénomène qui crée la panique s’est produit depuis le 10 octobre 2012 à 6 heures du matin.
L’une de ses brèches est d’une largeur de 100 mètres et l’autre de 80 mètres. Elles sont distantes de 150 mètres et s’ajoutent à l’ancienne brèche qui a été ouverte en 2003 par une société marocaine.
D’après le Service régional de Pêche et de la Surveillance de Saint-Louis, les deux ouvertures continuent à s’élargir de plus en plus et risquent à la longue de fusionner.
En a croire ce service, ces deux fissures entrainent des modifications majeures dans la configuration de la bande de terre protectrice qui sépare la mer et le fleuve avec des conséquences qui risquent d’être catastrophiques pour la traversée des pirogues.
Il informe, par ailleurs, qu’une menace de disparition des habitations occupées par les populations des localités de Gandiole comme Tassinère, Keur Bernard, Salguity est imminente avec une salinisation des terres cultivables. Des conséquences plus graves que celles notées à Doune Baba Dièye sont à redouter.
Cheikh Saad Bou SEYE
L’une de ses brèches est d’une largeur de 100 mètres et l’autre de 80 mètres. Elles sont distantes de 150 mètres et s’ajoutent à l’ancienne brèche qui a été ouverte en 2003 par une société marocaine.
D’après le Service régional de Pêche et de la Surveillance de Saint-Louis, les deux ouvertures continuent à s’élargir de plus en plus et risquent à la longue de fusionner.
En a croire ce service, ces deux fissures entrainent des modifications majeures dans la configuration de la bande de terre protectrice qui sépare la mer et le fleuve avec des conséquences qui risquent d’être catastrophiques pour la traversée des pirogues.
Il informe, par ailleurs, qu’une menace de disparition des habitations occupées par les populations des localités de Gandiole comme Tassinère, Keur Bernard, Salguity est imminente avec une salinisation des terres cultivables. Des conséquences plus graves que celles notées à Doune Baba Dièye sont à redouter.
Cheikh Saad Bou SEYE