Cinq jeunes artistes plasticiens sénégalais exposent leurs œuvres à Saint-Louis (nord) dans le cadre de la 12e Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art, 3 mai-2 juin), a constaté l’APS.
L’exposition réunissant les cinq artistes est organisée par Papis Diallo, un promoteur culturel saint-louisien. Elle met en relief la richesse et la diversité des œuvres d’art produites par les exposants formés tous à l’Ecole des beaux-arts de Dakar.
Pape Samba Ndiaye, l’un des exposants, a travaillé sur le "capital social". Son travail repose sur une démarche artistique guidée par la volonté de "proposer des solutions aux problèmes liés au développement du continent" africain.
Gogo, Aissata Sy à l’état civil, l’unique fille du groupe d’exposants, est une artiste plasticienne passionnée de photographie. Elle a travaillé sur une œuvre photographique retraçant les étapes de la vie, de la naissance à la mort.
"Artilioune" est la signature artistique d’Alioune Diagne, un plasticien âgé d’une trentaine d’années, qui utilise le style "figuro-abstro", suivant une démarche faisant ressortir à la fois ou oscillant entre le positif et le négatif, l’ombre et la lumière, un sujet et son contraire, ou encore la proximité et l’éloignement.
Parmi les œuvres exposées dans une auberge du sud de l’île figure celles d’Aimé Clément Diompy, dont le travail traduit un désir de liberté. A travers l’utilisation de tous les matériaux "traduisant un esprit progressiste et un hymne à la perfection", lit-on dans le document de présentation des œuvres de Diompy.
Fait aussi partie des exposants Mamadou Konté, un jeune artiste passionné de musique, de jazz surtout, au point d’en faire une démarche artistique reposant sur la musicalité, l’ambiance et l’émotion, à travers la magie des couleurs.
"J’essaie de reproduire, à travers une image figée, les émotions que le jazz procure. En me servant des couleurs qui font ressortir la sensibilité d’un amateur de cette musique", a-t-il dit à un journaliste de l’APS.
"C’est à travers un instant précis et une image fixe, que représente le support de la toile, sans artifice aucun, que Kon-T (son nom d’artiste) offre l’âme, la passion et le témoignage de cette musique et de ses grands représentants, qui font partie du patrimoine musical, artistique, culturel et historique", explique un document de présentation de l’exposition.
Cette dernière se déroule au moment où la ville de Saint-Louis organise son 24e Festival international de jazz (11 au 16 mai).
Hasard ou simple coïncidence, Kon-T se présente comme un "compositeur qui ne cesse de chercher la bonne note par la recherche, la proposition, la retranscription et la sublimation des instants de grande intensité artistique et musicale".
APS
L’exposition réunissant les cinq artistes est organisée par Papis Diallo, un promoteur culturel saint-louisien. Elle met en relief la richesse et la diversité des œuvres d’art produites par les exposants formés tous à l’Ecole des beaux-arts de Dakar.
Pape Samba Ndiaye, l’un des exposants, a travaillé sur le "capital social". Son travail repose sur une démarche artistique guidée par la volonté de "proposer des solutions aux problèmes liés au développement du continent" africain.
Gogo, Aissata Sy à l’état civil, l’unique fille du groupe d’exposants, est une artiste plasticienne passionnée de photographie. Elle a travaillé sur une œuvre photographique retraçant les étapes de la vie, de la naissance à la mort.
"Artilioune" est la signature artistique d’Alioune Diagne, un plasticien âgé d’une trentaine d’années, qui utilise le style "figuro-abstro", suivant une démarche faisant ressortir à la fois ou oscillant entre le positif et le négatif, l’ombre et la lumière, un sujet et son contraire, ou encore la proximité et l’éloignement.
Parmi les œuvres exposées dans une auberge du sud de l’île figure celles d’Aimé Clément Diompy, dont le travail traduit un désir de liberté. A travers l’utilisation de tous les matériaux "traduisant un esprit progressiste et un hymne à la perfection", lit-on dans le document de présentation des œuvres de Diompy.
Fait aussi partie des exposants Mamadou Konté, un jeune artiste passionné de musique, de jazz surtout, au point d’en faire une démarche artistique reposant sur la musicalité, l’ambiance et l’émotion, à travers la magie des couleurs.
"J’essaie de reproduire, à travers une image figée, les émotions que le jazz procure. En me servant des couleurs qui font ressortir la sensibilité d’un amateur de cette musique", a-t-il dit à un journaliste de l’APS.
"C’est à travers un instant précis et une image fixe, que représente le support de la toile, sans artifice aucun, que Kon-T (son nom d’artiste) offre l’âme, la passion et le témoignage de cette musique et de ses grands représentants, qui font partie du patrimoine musical, artistique, culturel et historique", explique un document de présentation de l’exposition.
Cette dernière se déroule au moment où la ville de Saint-Louis organise son 24e Festival international de jazz (11 au 16 mai).
Hasard ou simple coïncidence, Kon-T se présente comme un "compositeur qui ne cesse de chercher la bonne note par la recherche, la proposition, la retranscription et la sublimation des instants de grande intensité artistique et musicale".
APS