Tout comme Moustapha Diakhaté, le journaliste Adama Gaye, était convoqué, ce vendredi, par la Police. Particularité importante, il devait se présenter à ceux de la Division des investigations criminelles (Dic).
L'audition, prévue d’abord jeudi à 16 heures, et a été annoncée par le concerné sur sa page Facebook, renseigne le Soleil Digital.
Cependant Adama Gaye a demandé de le décaler pour permettre à son conseil de l'assister. Au terme de son audition aux alentours de 21 heures, il a été placé en position de garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles.
Ce qui lui est reproché concerne des déclarations faites au sujet du décès de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances. Adama Gaye avait soutenu à Sen Tv: "Moi, je pense que Moustapha Bâ a été tué. Qui l'a tué ? Je ne sais pas, il faut creuser. Le procureur a ouvert une enquête, mais il faut qu'il aille jusqu'au bout. Parce que si cette histoire passe, personne ne sera en sécurité dans ce pays. Si des gens ont pu faire ça à un ancien ministre des Finances, imaginez ce qu'ils peuvent faire". Le journaliste avait aussi suggéré de voir du côté "des gens de l'ancien régime".
L'audition, prévue d’abord jeudi à 16 heures, et a été annoncée par le concerné sur sa page Facebook, renseigne le Soleil Digital.
Cependant Adama Gaye a demandé de le décaler pour permettre à son conseil de l'assister. Au terme de son audition aux alentours de 21 heures, il a été placé en position de garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles.
Ce qui lui est reproché concerne des déclarations faites au sujet du décès de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances. Adama Gaye avait soutenu à Sen Tv: "Moi, je pense que Moustapha Bâ a été tué. Qui l'a tué ? Je ne sais pas, il faut creuser. Le procureur a ouvert une enquête, mais il faut qu'il aille jusqu'au bout. Parce que si cette histoire passe, personne ne sera en sécurité dans ce pays. Si des gens ont pu faire ça à un ancien ministre des Finances, imaginez ce qu'ils peuvent faire". Le journaliste avait aussi suggéré de voir du côté "des gens de l'ancien régime".