Les pluies diluviennes qui se sont déversées dans la ville installent certaines localités de Saint-Louis dans un chaos environnemental, en dépit du manque notoire d’assainissement auquel certaines zones font face.
À DIAMINAR, le désarroi et la détresse est à son paroxysme et quartier offre un spectacle désolant.
Les rues principales sont sous l’emprise d’eaux verdâtres et puantes du fait de la longue stagnation. Sur ces étangs se dressent éparpillées, des larves de moustiques.
« Nous souffrons et nous crions, mais malgré nos appels, la Commune reste insensible. Les cas de personnes attaquées par les maladies grimpent dans le quartier. Franchement, nous ne savons plus à quel saint se vouer», dit Djiby SOW, un des habitants.
« Pourtant, ici, à quelques mètres, une station de pompage a été implantée, mais nous ne sentons pas son utilité », a-t-il témoigné, déplorant le manque d’éclairage publique dans certains coins, favorisant l’escalade des agressions.
D’ailleurs, il y a quelques mois, un jeune y a été poignardé à mort, vers la digue, dans des maisons abandonnées.
« C’est à Diaminar où le maitre avait lui-même lancé en janvier 2014, l0peration Ndar Sett Wecc, mais depuis lors, nous n’avons plus de nouvelles de ce programme », soutient M. SOW qui appelle à la poursuite des actions de cette opération qui sauver les populations locales du groupe des inondations et des ordures.
À DIAMINAR, le désarroi et la détresse est à son paroxysme et quartier offre un spectacle désolant.
Les rues principales sont sous l’emprise d’eaux verdâtres et puantes du fait de la longue stagnation. Sur ces étangs se dressent éparpillées, des larves de moustiques.
« Nous souffrons et nous crions, mais malgré nos appels, la Commune reste insensible. Les cas de personnes attaquées par les maladies grimpent dans le quartier. Franchement, nous ne savons plus à quel saint se vouer», dit Djiby SOW, un des habitants.
« Pourtant, ici, à quelques mètres, une station de pompage a été implantée, mais nous ne sentons pas son utilité », a-t-il témoigné, déplorant le manque d’éclairage publique dans certains coins, favorisant l’escalade des agressions.
D’ailleurs, il y a quelques mois, un jeune y a été poignardé à mort, vers la digue, dans des maisons abandonnées.
« C’est à Diaminar où le maitre avait lui-même lancé en janvier 2014, l0peration Ndar Sett Wecc, mais depuis lors, nous n’avons plus de nouvelles de ce programme », soutient M. SOW qui appelle à la poursuite des actions de cette opération qui sauver les populations locales du groupe des inondations et des ordures.