Les frustrations qui avaient valu, il y a quelques mois, une rage populaire et le lancement d’une pétition exigeant le « déblocage » de la porte de l’hydrobase risquent de resurgir sous des formes plus contestataires. Diamalaye, pire que son passé, est, à la fois, la parfaite expression du malaise qui vit le secteur de la pêche, la décrépitude programmée du tourisme et la récurrence des attentats permanents sur le patrimoine.
D’abord, les travaux de construction d’une plateforme qui devrait servir d’espaces de stationnement n’auront pas d’avenir comme l’avait annoncé, comme l’avait annoncé le maire Mansour FAYE. Les installations ont été détruites et zone identifiée saccagée. Il est devenu, certainement, le lieu le plus immonde et le plus sale de la ville depuis sa naissance.
Des tas et montagnes de poissons pourris baignent dans des étangs de sangs de poisson décomposés aux odeurs extrêmement nauséabondes. Il est impossible de décrire le terrible parfum aigu que se dégagent de ces les lieux.
Après, le désordre se propage sur la ville. Il menace l’un des plus grands éléments du patrimoine, le pont Faidherbe. Le sang de poisson versé et dispersé par-ci et par-là, encense à souhait l’ile de NDAR, de sa senteur pétrifiante. Son eau égratigne continuellement le revêtement routier de l’ouvrage métallique en danger.
Pourtant, le Préfet de Saint-Louis Mariama TRAORE avait servi, il y a quelques mois, un arrêté interdisant l’usage des purges. Aucune suite, l’indiscipline persiste, la défiance de l’autorité, aussi.
De l’autre côté, la désolation des hôteliers qui se sont implantés sur la partie nord de la langue de Barbarie, étranglés par l’injustice et la décadence des revenus, est à son summum. Plus aucun touriste ne veut prendre le risque d’entreprendre cette route tortueuse où l’atmosphère, chaotique, suscite la terreur.
Pourtant, Saint-Louis du Sénégal gagnerait à déboucher ce trou. La profonde misère des hôteliers devrait susciter une réaction « citoyenne » de la part de l’autorité politique qui a la charge de décanter cette situation qui, rassemblement, a trop duré.
Enfin, le tintamarre assourdissant devant les morts, l’impossibilité pour le citoyen de communier paisiblement avec les disparus, les attaques répétées de certains parties du mur de protection de Thième et Thioaka NDIAYE.
> Reportage photos ...
D’abord, les travaux de construction d’une plateforme qui devrait servir d’espaces de stationnement n’auront pas d’avenir comme l’avait annoncé, comme l’avait annoncé le maire Mansour FAYE. Les installations ont été détruites et zone identifiée saccagée. Il est devenu, certainement, le lieu le plus immonde et le plus sale de la ville depuis sa naissance.
Des tas et montagnes de poissons pourris baignent dans des étangs de sangs de poisson décomposés aux odeurs extrêmement nauséabondes. Il est impossible de décrire le terrible parfum aigu que se dégagent de ces les lieux.
Après, le désordre se propage sur la ville. Il menace l’un des plus grands éléments du patrimoine, le pont Faidherbe. Le sang de poisson versé et dispersé par-ci et par-là, encense à souhait l’ile de NDAR, de sa senteur pétrifiante. Son eau égratigne continuellement le revêtement routier de l’ouvrage métallique en danger.
Pourtant, le Préfet de Saint-Louis Mariama TRAORE avait servi, il y a quelques mois, un arrêté interdisant l’usage des purges. Aucune suite, l’indiscipline persiste, la défiance de l’autorité, aussi.
De l’autre côté, la désolation des hôteliers qui se sont implantés sur la partie nord de la langue de Barbarie, étranglés par l’injustice et la décadence des revenus, est à son summum. Plus aucun touriste ne veut prendre le risque d’entreprendre cette route tortueuse où l’atmosphère, chaotique, suscite la terreur.
Pourtant, Saint-Louis du Sénégal gagnerait à déboucher ce trou. La profonde misère des hôteliers devrait susciter une réaction « citoyenne » de la part de l’autorité politique qui a la charge de décanter cette situation qui, rassemblement, a trop duré.
Enfin, le tintamarre assourdissant devant les morts, l’impossibilité pour le citoyen de communier paisiblement avec les disparus, les attaques répétées de certains parties du mur de protection de Thième et Thioaka NDIAYE.
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