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Jean Noël Étienne DIATTA, le président du Collectif des Doctorants de l'UGB
Le présidents du collectif des doctorants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis(Ugb), a mis l’accent, jeudi, l’urgence de réfléchir sur les effets des technologies numériques au niveau des sociétés et économies africaines, compte tenu du « poids démographique » de la jeunesse du continent et de sa « forte connectivité ».
Pour Jean Noël Étienne DIATTA, « la grande capacité d’appropriation des technologies numériques » matérialisée par l’usage massif de Smartphones, tablettes, ect. chez les jeunes, impose une analyse approfondie des enjeux des technologiques numériques sur le devenir de l’Afrique.
S’interrogeant par ailleurs sur les axes stratégiques pour des politiques publiques et l’exigence de la mise en place d’une législation favorable à la cyber sécurité et la souveraineté numérique, M. DIATTA qui s’exprimait en marge de l’ouverture de la 7e édition des journées Sciences de son collectif, soutient qu’il est important de se pencher sur les impacts et les applications des technologies numériques sur les territoires et l’environnement.
Au cours de ces rencontres scientifiques qui associe des représentations de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar et de l’Université de Bambey, neuf (9) communications sur diverses thématiques seront abordées. Elles vont toucher les aspects économiques et sociaux, politiques et juridiques, physiques et environnementaux de la poussée numériques qui caractérise le continent.
Le recteur de l’Université Gaston Berger a magnifié le rôle « déterminant » que le collectif des Doctorants jour dans « la promotion de la recherche », en soutenant que cette « structure est devenue un maillon important dans le dispositif institutionnel de l’Université ».
Par la voix de son représentant, le professeur Baydallaye KANE a fait part de sa « ferme volonté » de soutenir les activités de Doctorats.
> Suivez les explications de Jean Noël Étienne DIATTA
Pour Jean Noël Étienne DIATTA, « la grande capacité d’appropriation des technologies numériques » matérialisée par l’usage massif de Smartphones, tablettes, ect. chez les jeunes, impose une analyse approfondie des enjeux des technologiques numériques sur le devenir de l’Afrique.
S’interrogeant par ailleurs sur les axes stratégiques pour des politiques publiques et l’exigence de la mise en place d’une législation favorable à la cyber sécurité et la souveraineté numérique, M. DIATTA qui s’exprimait en marge de l’ouverture de la 7e édition des journées Sciences de son collectif, soutient qu’il est important de se pencher sur les impacts et les applications des technologies numériques sur les territoires et l’environnement.
Au cours de ces rencontres scientifiques qui associe des représentations de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar et de l’Université de Bambey, neuf (9) communications sur diverses thématiques seront abordées. Elles vont toucher les aspects économiques et sociaux, politiques et juridiques, physiques et environnementaux de la poussée numériques qui caractérise le continent.
Le recteur de l’Université Gaston Berger a magnifié le rôle « déterminant » que le collectif des Doctorants jour dans « la promotion de la recherche », en soutenant que cette « structure est devenue un maillon important dans le dispositif institutionnel de l’Université ».
Par la voix de son représentant, le professeur Baydallaye KANE a fait part de sa « ferme volonté » de soutenir les activités de Doctorats.
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