« Lors de la campagne pour la présidentielle en 2012, le président était venu jusqu’ici. Nous lui avions fait part de toutes nos souffrances. Rien à changer, depuis », ont-ils dit, brassards rouges bien noués. « Les promesses tenues n’ont pas été respectées », ont-ils crié.
Dans la zone de Déby-Tiguette, les riziers sont dans l’expectative. Un seul tracteur a été affecté aux exploitants confinés dans un casier de 982 hectares, en dépit du tintamarre de la cérémonie de remise de matériels agricoles à Dakar.
N’ayant pas bénéficié d’un accompagnement adéquat de la part de la SAED, les unions trainent aujourd’hui d’importantes dettes auprès de la CNCA après une campagne agricole qu’ils jugent « désastreuse ». Ils appellent ainsi à la clémence du chef de l’État pour éponger ces fonds. « S’il ne le fait pas, c’est sûr nous ne pourrons pas à la campagne à venir », ont-ils averti.
« C’est comme si nous étions des citoyens de la Mauritanie. Parce que c’est eux qui, en traitant leur sol, nous aider à aménager les nôtres », ont-ils révélé.
Les populations ont par ailleurs fustigé la campagne de désinformation à laquelle se livre la direction du parc National du Djoudj relative à des activités de drainage dans l’unité écologique. « Aucun drainage ne verse dans le Parc. Les informations livrées par le conservateur sont totalement fausses », ont-elles dit. « Des habitants d’autres localités pêchent clandestinement dans les eaux du Djoudj, en complicité avec la direction », ont-ils soutenu.
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Dans la zone de Déby-Tiguette, les riziers sont dans l’expectative. Un seul tracteur a été affecté aux exploitants confinés dans un casier de 982 hectares, en dépit du tintamarre de la cérémonie de remise de matériels agricoles à Dakar.
N’ayant pas bénéficié d’un accompagnement adéquat de la part de la SAED, les unions trainent aujourd’hui d’importantes dettes auprès de la CNCA après une campagne agricole qu’ils jugent « désastreuse ». Ils appellent ainsi à la clémence du chef de l’État pour éponger ces fonds. « S’il ne le fait pas, c’est sûr nous ne pourrons pas à la campagne à venir », ont-ils averti.
« C’est comme si nous étions des citoyens de la Mauritanie. Parce que c’est eux qui, en traitant leur sol, nous aider à aménager les nôtres », ont-ils révélé.
Les populations ont par ailleurs fustigé la campagne de désinformation à laquelle se livre la direction du parc National du Djoudj relative à des activités de drainage dans l’unité écologique. « Aucun drainage ne verse dans le Parc. Les informations livrées par le conservateur sont totalement fausses », ont-elles dit. « Des habitants d’autres localités pêchent clandestinement dans les eaux du Djoudj, en complicité avec la direction », ont-ils soutenu.
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