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Le vent de la rebellion souffle dans les rangs de l’APR de Dagana. Des militants de la premiére heure avec à la tête Fatima Sylla Sakho dite Baye Diallo Sylla ont décidé de mettre sur pied un mouvement citoyen dénommé « AL WAJIB- Le devoir » afin de mener à bien « le combat de l’déal » ont –ils dit. Ces frustrés de l’APR tirent la sonnette d’alarme sur le danger qui guette leur mentor Macky Sall pour l’échéance présidentielle qui se profile à l’horizon.
« Victimes d’ostracisme » , ces rebelles , on se rappelle , avaient boudé lors des derniéres locales la liste de Benno Bok Yakaar de Richard-Toll pour aller étoffer celle de l’opposition contestant le leadership de l’actuel maire de la ville sucriére. Et Fatima Sylla Sakho coordonnatrice de ce mouvement de préciser que le combat est d’envergure nationale . « Cette prise de conscience, beaucoup de sénégalais l’ont faite par des créations de mouvements contestataires en passant par la société civile mais pour nous il ne suffit plus de protester mais plutôt d’ agir et c’est la raison pour laquelle nous avons créé un élan citoyen fort autour de ce mouvement » dit –elle .
Le mouvement se donne comme mission première l’urgence d’œuvrer ensemble pour le développement du Sénégal sur tous les plans de façon inclusive à travers la mobilisation, la concertation mais surtout l’identification et la matérialisation des projets de développement économiques, éducatifs et socio- culturels. Fatima Sylla Sakho devant un parterre d’adhérents de leur demander de croire en eux- mêmes. « Nous sommes un peuple jeune et talentueux. Nous pouvons exceller dans la technique, la science, l’artisanat mais surtout nous avons l’eau, la terre, le soleil et la jeunesse il est temps de se battre pour la création de nouveau type de politicien à cœur de réaliser au lieu de se réaliser » lance t-elle. Emboitant le pas de sa coordonnatrice, Ismael Gueye venu de Matam pense qu’il urge aujourd’hui de recentrer les débats, les actions et les ambitions autour des attentes des citoyens pour plus de créations de richesses, pour plus de développement partagé, par la résurrection du travail d’encourager par des initiatives citoyennes, tout programme qui vise le développement du Sénégal et d’alerter quand les politiciens oublieront ce qu’est le sens premier de leur mission.
Selon le mouvement, tout est parti d’un constat un constat extrêmement préoccupant sur leur trajectoire en matière d’acquis politiques qui est complétement asymétrique à celle des performances économiques, éducatives et socio culturelles d’où cette corrélation négative entre leur façon de faire la politique et leurss faibles performances.
« Nos pratiques politiques jusqu’ici, assignent à la démocratie une finalité erronée, en faisant d’elle un modus- operandi pour convoiter le pouvoir du coût nous assistons à un phénomène plus pernicieux d’addiction marquée de plus en plus par l’arrivée de nouveaux types de politiciens pour qui c’est le raccourci parfait pour devenir dans des domaines naguères réservés à la compétence, à l’expertise et à l’expérience.
Malheureusement, dans un tel système, les idées n’ont pas de place, or pour nous seules les idées sont porteuses de progrès » a dénoncé Fatima Sylla Sakho. Elle souligne que ce type de politicien a béatifié la débrouille et la paresse. « Il a démystifié le travail comme source de bien-être et dévalorisé le mérite. il a préféré les raccourcis pour essayer en vain de réaliser ce que les autres ont obtenu par la persévérance dans l’effort » a-t-elle conclu.
« Victimes d’ostracisme » , ces rebelles , on se rappelle , avaient boudé lors des derniéres locales la liste de Benno Bok Yakaar de Richard-Toll pour aller étoffer celle de l’opposition contestant le leadership de l’actuel maire de la ville sucriére. Et Fatima Sylla Sakho coordonnatrice de ce mouvement de préciser que le combat est d’envergure nationale . « Cette prise de conscience, beaucoup de sénégalais l’ont faite par des créations de mouvements contestataires en passant par la société civile mais pour nous il ne suffit plus de protester mais plutôt d’ agir et c’est la raison pour laquelle nous avons créé un élan citoyen fort autour de ce mouvement » dit –elle .
Le mouvement se donne comme mission première l’urgence d’œuvrer ensemble pour le développement du Sénégal sur tous les plans de façon inclusive à travers la mobilisation, la concertation mais surtout l’identification et la matérialisation des projets de développement économiques, éducatifs et socio- culturels. Fatima Sylla Sakho devant un parterre d’adhérents de leur demander de croire en eux- mêmes. « Nous sommes un peuple jeune et talentueux. Nous pouvons exceller dans la technique, la science, l’artisanat mais surtout nous avons l’eau, la terre, le soleil et la jeunesse il est temps de se battre pour la création de nouveau type de politicien à cœur de réaliser au lieu de se réaliser » lance t-elle. Emboitant le pas de sa coordonnatrice, Ismael Gueye venu de Matam pense qu’il urge aujourd’hui de recentrer les débats, les actions et les ambitions autour des attentes des citoyens pour plus de créations de richesses, pour plus de développement partagé, par la résurrection du travail d’encourager par des initiatives citoyennes, tout programme qui vise le développement du Sénégal et d’alerter quand les politiciens oublieront ce qu’est le sens premier de leur mission.
Selon le mouvement, tout est parti d’un constat un constat extrêmement préoccupant sur leur trajectoire en matière d’acquis politiques qui est complétement asymétrique à celle des performances économiques, éducatives et socio culturelles d’où cette corrélation négative entre leur façon de faire la politique et leurss faibles performances.
« Nos pratiques politiques jusqu’ici, assignent à la démocratie une finalité erronée, en faisant d’elle un modus- operandi pour convoiter le pouvoir du coût nous assistons à un phénomène plus pernicieux d’addiction marquée de plus en plus par l’arrivée de nouveaux types de politiciens pour qui c’est le raccourci parfait pour devenir dans des domaines naguères réservés à la compétence, à l’expertise et à l’expérience.
Malheureusement, dans un tel système, les idées n’ont pas de place, or pour nous seules les idées sont porteuses de progrès » a dénoncé Fatima Sylla Sakho. Elle souligne que ce type de politicien a béatifié la débrouille et la paresse. « Il a démystifié le travail comme source de bien-être et dévalorisé le mérite. il a préféré les raccourcis pour essayer en vain de réaliser ce que les autres ont obtenu par la persévérance dans l’effort » a-t-elle conclu.
