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« Ceci nous permettra d’établir des plans d’action qui vont s’inspirer de ces données. Ainsi, nous pourrons convenablement accompagner les collectivités locales du département à développer des politiques culturelles cohérentes », a expliqué Vieux Abdoulaye NDOYE, le secrétaire général du Groupement d’Intérêt communautaire (GIC) de Dagana, l’organisation fédératrice, à l’initiative de cette étude.
Insistant sur la diversité et la richesse culturelle découverte entre Diama à Bokhol, M. NDOYE déplore « l’action timide » des collectivités pour accompagner la culture et le manque de techniciens en mesure d’accompagner les localités dans leur définition de politiques culturelles pertinentes.
« Il faut développer une bonne dynamique pour que l’ensemble des acteurs qui sont concernés dans la mise en œuvre du projet puisse trouver les moyens d’exploiter correctement ces données », a-t-il ajouté.
L’identification du potentiel du patrimoine culturel matériel et immatériel des collectivités et des besoins des acteurs et des populations en général dans le domaine de la culture, l’appui des communes à la structuration de leurs acteurs culturels et à l’élaboration d’un agenda culturel départemental sont quelques objectifs visés par le programme lancé en octobre 2014 et qui ambitionne d’élaborer un plan d’action départemental dans le domaine culture et du patrimoine.
Pour Amadou Bakhao DIAW, acteur culturel, ce diagnostic prouve toute sa pertinence dans la mesure où le WALO est le berceau de la communauté Wolof.
« La première richesse du département de Dagana, c’est sa culture. Toutes les traditions et coutumes de la culture Wolof proviennent de la zone», a dit l’historien du Walo qui salue par ailleurs la démarche participative du GIC et l’association des acteurs clés à ce conclave.
La représentante du Centre culturel régional de Saint-Louis a magnifié l’efficacité du processus de collecte entrepris au fil de ce diagnostic, en indiquant qu’il permettra de mettre en place « une banque de données pour les acteurs culturels ».
Ndèye Marianne DIOP a insisté sur l’importance de sauvegarder le patrimoine immatériel en plus du patrimoine bâti, en précisant que « cette composante est à valoriser ».
« Cette richesse a tendance à disparaître », a noté l’animatrice culturelle. « C’est pour que la que le Ministère de la Culture et de la Communication et l’UNESCO avaient mis en œuvre un programme national pour répertorier les instruments traditions », a-t-elle ajouté.
> Suivez en vidéo, les différentes interventions
Insistant sur la diversité et la richesse culturelle découverte entre Diama à Bokhol, M. NDOYE déplore « l’action timide » des collectivités pour accompagner la culture et le manque de techniciens en mesure d’accompagner les localités dans leur définition de politiques culturelles pertinentes.
« Il faut développer une bonne dynamique pour que l’ensemble des acteurs qui sont concernés dans la mise en œuvre du projet puisse trouver les moyens d’exploiter correctement ces données », a-t-il ajouté.
L’identification du potentiel du patrimoine culturel matériel et immatériel des collectivités et des besoins des acteurs et des populations en général dans le domaine de la culture, l’appui des communes à la structuration de leurs acteurs culturels et à l’élaboration d’un agenda culturel départemental sont quelques objectifs visés par le programme lancé en octobre 2014 et qui ambitionne d’élaborer un plan d’action départemental dans le domaine culture et du patrimoine.
Pour Amadou Bakhao DIAW, acteur culturel, ce diagnostic prouve toute sa pertinence dans la mesure où le WALO est le berceau de la communauté Wolof.
« La première richesse du département de Dagana, c’est sa culture. Toutes les traditions et coutumes de la culture Wolof proviennent de la zone», a dit l’historien du Walo qui salue par ailleurs la démarche participative du GIC et l’association des acteurs clés à ce conclave.
La représentante du Centre culturel régional de Saint-Louis a magnifié l’efficacité du processus de collecte entrepris au fil de ce diagnostic, en indiquant qu’il permettra de mettre en place « une banque de données pour les acteurs culturels ».
Ndèye Marianne DIOP a insisté sur l’importance de sauvegarder le patrimoine immatériel en plus du patrimoine bâti, en précisant que « cette composante est à valoriser ».
« Cette richesse a tendance à disparaître », a noté l’animatrice culturelle. « C’est pour que la que le Ministère de la Culture et de la Communication et l’UNESCO avaient mis en œuvre un programme national pour répertorier les instruments traditions », a-t-elle ajouté.
> Suivez en vidéo, les différentes interventions
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