Démarrée en janvier 2016 en partenariat avec ASODIA, l’ARD de Saint Louis, l’APESS et les équipes techniques de la Région Occitanie, cette seconde phase de 3 ans (2016-2018) a pour objectif général de contribuer à l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et de la résilience des exploitations familiales d’élevage dans les départements de Dagana et Podor.
« L’ambition est d’inscrire durablement les changements initiés, notamment au niveau des pratiques de production des exploitations familiales d’élevage, de la structuration des services et de la concertation multiacteurs », a renseigné, mardi, Sidaty SOW, assistant du chef de projet Accès aux Services et Structuration des Eleveurs Laitiers (ASSTEL).
« Elle s’inscrit dans une démarche territoriale de développement de l’élevage. Elle inclut des demandes spécifiques des femmes (alphabétisation, diversification des activités économiques) et un appui à la prévention et gestion des risques climatiques », a-t-il dit, à travers les ondes de Radio Dunyaa Richard-Toll.
Le programme ambitionne de toucher au total 1 500 exploitations (dont les plus vulnérables) avec l’ensemble des actions (alphabétisation de 300 personnes, principalement des femmes, production lait et viande, collecte, appui aux autres initiatives économiques locales).
« Pour la phase 1 du programme (décembre 2016 au juin 2017), nous allons toucher 200 personnes, à travers 10 classes dans 10 villages de la zone d’intervention du projet ASSTEL 2 », a indiqué M. SOW qui note que « la deuxième phase va démarrer au mois de juillet 2017 auprès d’autres familles d’éleveurs du département de Dagana et de Podor ».
Il faut rappeler que la première phase du projet Asstel (2013-2015) était axée sur la production de lait des exploitations familiales pour répondre à la fois aux besoins des familles rurales (dégager des revenus plus élevés et plus réguliers, limiter l’exode rural et l’abandon de vastes territoires), aux dynamiques économiques locales avec notamment la collecte par la Laiterie du Berger (LdB) et aux enjeux du marché national (Dakar, Saint Louis, Thiès, etc.).
NDARINFO.COM
« L’ambition est d’inscrire durablement les changements initiés, notamment au niveau des pratiques de production des exploitations familiales d’élevage, de la structuration des services et de la concertation multiacteurs », a renseigné, mardi, Sidaty SOW, assistant du chef de projet Accès aux Services et Structuration des Eleveurs Laitiers (ASSTEL).
« Elle s’inscrit dans une démarche territoriale de développement de l’élevage. Elle inclut des demandes spécifiques des femmes (alphabétisation, diversification des activités économiques) et un appui à la prévention et gestion des risques climatiques », a-t-il dit, à travers les ondes de Radio Dunyaa Richard-Toll.
Le programme ambitionne de toucher au total 1 500 exploitations (dont les plus vulnérables) avec l’ensemble des actions (alphabétisation de 300 personnes, principalement des femmes, production lait et viande, collecte, appui aux autres initiatives économiques locales).
« Pour la phase 1 du programme (décembre 2016 au juin 2017), nous allons toucher 200 personnes, à travers 10 classes dans 10 villages de la zone d’intervention du projet ASSTEL 2 », a indiqué M. SOW qui note que « la deuxième phase va démarrer au mois de juillet 2017 auprès d’autres familles d’éleveurs du département de Dagana et de Podor ».
Il faut rappeler que la première phase du projet Asstel (2013-2015) était axée sur la production de lait des exploitations familiales pour répondre à la fois aux besoins des familles rurales (dégager des revenus plus élevés et plus réguliers, limiter l’exode rural et l’abandon de vastes territoires), aux dynamiques économiques locales avec notamment la collecte par la Laiterie du Berger (LdB) et aux enjeux du marché national (Dakar, Saint Louis, Thiès, etc.).
NDARINFO.COM