"Superstitions", ACTE 2
La mythique "Compagnie Zoumba", ainsi baptisée du nom du comédien bien connu des Saint-Louisiens vient de réussir un spectacle de haute facture à l'Alliance Française de Banjul, avec sa fameuse pièce de théâtre "SUPERSTITIONS".
Un chef d'œuvre que le publique gambien a bien apprécié et qui avait été joué en première à l'institut français de Saint-Louis en Janvier 2010, à l’occasion d’une soirée inédite à laquelle Ndarinfo était conviée.
Zoumba, le chouchou des férus des drames vivants, profonds et exposants avait ensuite rejoué la belle pièce, avec le même succès, en one man show au Maroc en clôture du Festival International des Nuits du Conte.
Mais cette nouvelle version présentée mercredi dernier dans la capitale Gambienne a l'avantage d'être assaisonnée subtilement d’ingrédients mélodiques. Car cette fois, en plus du savoureux Tama (tam-tam d'aisselle) de Tapha Fall, le majestueux balafon de Dialy Lamine Kouyaté a régulièrement donné le ton dans l'évolution dramatique. Devinez le résultat du mélange!
C’est pourquoi, le public de Banjul pourtant pas toujours friand des produits à version française, est resté scotché au jeu théâtral pendant une bonne heure, riant et applaudissant à chaque acte et à chaque superstition mise en scène.
On se délecte des musiques in et off, et jusqu'à l'intelligence de la lumière dans la conception théâtrale, car la compagnie s'est déplacée avec son propre régisseur Jupiter Ndiaye.
Au final, avec cet énième spectacle réussi, Zoumba affirme encore un professionnalisme qui fait honneur à la ville qu’il honore partout où passe et au Sénégal tout entier.
La pièce fut suivie d'un débat sympathique sur le spectacle et sur l'acteur.
Ndarinfo dit bravo à Zoumba !
Un chef d'œuvre que le publique gambien a bien apprécié et qui avait été joué en première à l'institut français de Saint-Louis en Janvier 2010, à l’occasion d’une soirée inédite à laquelle Ndarinfo était conviée.
Zoumba, le chouchou des férus des drames vivants, profonds et exposants avait ensuite rejoué la belle pièce, avec le même succès, en one man show au Maroc en clôture du Festival International des Nuits du Conte.
Mais cette nouvelle version présentée mercredi dernier dans la capitale Gambienne a l'avantage d'être assaisonnée subtilement d’ingrédients mélodiques. Car cette fois, en plus du savoureux Tama (tam-tam d'aisselle) de Tapha Fall, le majestueux balafon de Dialy Lamine Kouyaté a régulièrement donné le ton dans l'évolution dramatique. Devinez le résultat du mélange!
C’est pourquoi, le public de Banjul pourtant pas toujours friand des produits à version française, est resté scotché au jeu théâtral pendant une bonne heure, riant et applaudissant à chaque acte et à chaque superstition mise en scène.
On se délecte des musiques in et off, et jusqu'à l'intelligence de la lumière dans la conception théâtrale, car la compagnie s'est déplacée avec son propre régisseur Jupiter Ndiaye.
Au final, avec cet énième spectacle réussi, Zoumba affirme encore un professionnalisme qui fait honneur à la ville qu’il honore partout où passe et au Sénégal tout entier.
La pièce fut suivie d'un débat sympathique sur le spectacle et sur l'acteur.
Ndarinfo dit bravo à Zoumba !