Saint-Louis du Sénégal, la ville tricentenaire, organise depuis 2008, le « Tënk », un rendez-vous annuel des professionnels du film documentaire en Afrique.
Deux films mauritaniens ont été proposés au public, ils portent sur les évènements de 89/92 avec tout le mal que l’on sait. « Mémoire Noire » d’Ousmane Diagana et « l’exil Forcé » d’Abdoul Dia, ont suffisamment montré les folies d’un conflit vieux aujourd’hui de 27 ans avec une bonne dose de conviction et d’anticipation.
La rencontre de Saint-Louis a permis à un public de bien connaitre la réalité des faits sur le conflit mauritanien, déjà « archivé » dans des livres, des thèses, et bien sûr des films.
« Mémoire-Noire » et « l’exil Forcé » sont la révélation de la signification profonde de la purge ethnique, unique en son genre dans la sous-région et qui relève le secret d’un peuple qui bon pied, bon œil, a voulu se débarrasser définitivement de la composante avec laquelle il a pourtant toujours vécu.
Les quelques images montrées, sont époustouflantes, tant l’identité nègre en question est restée dans un passé, rattrapé par un présent, qui l’accompagne dans son évolution et sa confirmation.
© 2016 Cridem
Deux films mauritaniens ont été proposés au public, ils portent sur les évènements de 89/92 avec tout le mal que l’on sait. « Mémoire Noire » d’Ousmane Diagana et « l’exil Forcé » d’Abdoul Dia, ont suffisamment montré les folies d’un conflit vieux aujourd’hui de 27 ans avec une bonne dose de conviction et d’anticipation.
La rencontre de Saint-Louis a permis à un public de bien connaitre la réalité des faits sur le conflit mauritanien, déjà « archivé » dans des livres, des thèses, et bien sûr des films.
« Mémoire-Noire » et « l’exil Forcé » sont la révélation de la signification profonde de la purge ethnique, unique en son genre dans la sous-région et qui relève le secret d’un peuple qui bon pied, bon œil, a voulu se débarrasser définitivement de la composante avec laquelle il a pourtant toujours vécu.
Les quelques images montrées, sont époustouflantes, tant l’identité nègre en question est restée dans un passé, rattrapé par un présent, qui l’accompagne dans son évolution et sa confirmation.
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