Dans la journée du dimanche 5 septembre 2021, les forces spéciales regroupées au sein du comité national pour le redressement et le développement (CNRD) dirigées par le colonel Mamady Doumbouya, ont renversé le régime d’Alpha Condé décrié depuis le double référendum/législative et la présidentielle du 18 octobre dernier.
Guineenews© n’est pas à mesure de dire avec exactitude le nombre de morts pendant les hostilités entre les deux parties n’ayant accès à la morgue. Cependant, lors des échanges des tirs entre les forces loyalistes sous le label du bataillon autonome de la sécurité présidentielle (BASP) et celles spéciales, apparement mieux équipées et entraînées, il peut affirmer que 8 jeunes militaires des premières ont succombé de leurs blessures, a-t-on appris de sources militaires. Il s’agit de :
1- Adjudant-chef Sekou Camara
2- Adjudant Youssouf Aina Camara
3- Lieutenant Antoine Malano
4- Nicholas Lamine Y.
5- Adjudant Mohamed Lamine Camara.
6- Adjudant Abdoualye Bebeto Camara.
7- S. Doumbouya.
8- Abdoulaye Baldé.
La minute de silence observée à la mémoire des victimes du coup d’Etat lors de la brève allocution du président de la junte militaire devant les anciens dignitaires du pays, à Conakry confirme les cas de morts.
Depuis l’indépendance de la Guinée en 1958, c’est le troisième coup d’Etat militaire réussi dans le pays où, généralement, la mauvaise gouvernance, la médiocrité, la faiblesse des institutions républicaines, la violation des droits humains, le népotisme, le clientélisme, la délation, l’ethnostrategie, le trafic d’influence, le détournement des deniers publics…sont toujours érigés en système de gouvernance avec les mêmes hommes qui se métamorphosent en fonction de leurs intérêts du moment.
Le CNRD va-t-il céder aux manipulations des faux mouvements de soutien et les manœuvres dilatoires des plus grands caméléons et propagandistes de la république, champions en intrigue du palais ?
Seul le temps nous le dira !
Guineenews© n’est pas à mesure de dire avec exactitude le nombre de morts pendant les hostilités entre les deux parties n’ayant accès à la morgue. Cependant, lors des échanges des tirs entre les forces loyalistes sous le label du bataillon autonome de la sécurité présidentielle (BASP) et celles spéciales, apparement mieux équipées et entraînées, il peut affirmer que 8 jeunes militaires des premières ont succombé de leurs blessures, a-t-on appris de sources militaires. Il s’agit de :
1- Adjudant-chef Sekou Camara
2- Adjudant Youssouf Aina Camara
3- Lieutenant Antoine Malano
4- Nicholas Lamine Y.
5- Adjudant Mohamed Lamine Camara.
6- Adjudant Abdoualye Bebeto Camara.
7- S. Doumbouya.
8- Abdoulaye Baldé.
La minute de silence observée à la mémoire des victimes du coup d’Etat lors de la brève allocution du président de la junte militaire devant les anciens dignitaires du pays, à Conakry confirme les cas de morts.
Depuis l’indépendance de la Guinée en 1958, c’est le troisième coup d’Etat militaire réussi dans le pays où, généralement, la mauvaise gouvernance, la médiocrité, la faiblesse des institutions républicaines, la violation des droits humains, le népotisme, le clientélisme, la délation, l’ethnostrategie, le trafic d’influence, le détournement des deniers publics…sont toujours érigés en système de gouvernance avec les mêmes hommes qui se métamorphosent en fonction de leurs intérêts du moment.
Le CNRD va-t-il céder aux manipulations des faux mouvements de soutien et les manœuvres dilatoires des plus grands caméléons et propagandistes de la république, champions en intrigue du palais ?
Seul le temps nous le dira !