Jugée depuis décembre avec 82 coaccusés pour «atteinte à la sûreté de l’Etat», l’épouse de l’ancien président Laurent Gbagbo doit répondre des actes qu’elle est accusée d’avoir commis dans son pays entre décembre 2010 et mai 2011.
A l’époque, 3.000 personnes avaient trouvé la mort dans de violents affrontements en raison du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire de son opposant, l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Trois milliards d’euros de dommages et intérêts
Surnommée la «Dame de fer», Simone Gbagbo, 65 ans, est accusée d’être liée aux «escadrons de la mort» qui ont sévi durant cette période dans les rues d’Abidjan. Mais en deux mois de procès, l’accusation –qualifiée de très faible par de nombreux observateurs– n’a pas été en mesure de fournir de preuve matérielle pour l’incriminer.
A l’époque, 3.000 personnes avaient trouvé la mort dans de violents affrontements en raison du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire de son opposant, l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Trois milliards d’euros de dommages et intérêts
Surnommée la «Dame de fer», Simone Gbagbo, 65 ans, est accusée d’être liée aux «escadrons de la mort» qui ont sévi durant cette période dans les rues d’Abidjan. Mais en deux mois de procès, l’accusation –qualifiée de très faible par de nombreux observateurs– n’a pas été en mesure de fournir de preuve matérielle pour l’incriminer.