Elu récemment par ses pairs à la tête du Conseil régional de la jeunesse de Saint-Louis, Fara Ndiaye a l’ambition de briguer le suffrage des jeunes pour diriger le Conseil national de la jeunesse. Le renouvellement des instances de base de cette structure est prévu du 9 au 11 décembre à Dakar.
Fara Ndiaye entend fonder son action sur une démarche inclusive et désintéressée. Toutes les régions devront se sentir impliquées dans la gestion du conseil pour l’intérêt des jeunes.
Le seul profit qu’il attend de cette entreprise est sa satisfaction et celle de l’équipe du conseil national de voir les jeunes s’épanouir pleinement aux plans économique, social, sportif et culturel. Agé de 25 ans, le nouveau candidat à la direction du Conseil national de la jeunesse est spécialiste en Communication publique, territoriale et développement durable.
En termes de contribution au Plan Sénégal Emergent (Pse), il a publié un article intitulé : « La situation des enfants vulnérables au Sénégal, actions menées par l’AJE (Association Jeunesse, Espoir) à Saint-Louis et proposition de solutions pour une action gouvernementale plus efficace ».
« Inscrit dans la fidélité aux valeurs de la République, le bureau du Conseil national de la jeunesse », selon M. Ndiaye, « sera un acteur prépondérant dans la construction d’un Etat de droit, d’une démocratie participative et d’une société moderne fortement enracinée dans les cultures de nos aïeux mais également ouverte au brassage des civilisations ».
Sa candidature sera donc celle des « jeunes imbus de modernité, mais conscients du fait que l’avenir se construit à partir du passé ». Par cette démarche, il s’engage à s’inspirer de l’expérience de ses aînés, de la sagesse de ses parents et de l’énergie débordante de ses pairs jeunes et des mouvements nationaux.
Son programme intitulé Accord « Action de Croissance et de Citoyenneté pour l’Opportunité, la Responsabilité et le Développement de la jeunesse » repose sur trois piliers essentiels avec comme cheval de bataille la formation et l’emploi des jeunes. Il s’agit notamment de la croissance et du développement du capital humain juvénile, de la participation, du leadership, de la communication, de la transparence et de la « redevabilité ».
Mbagnick Kharachi DIAGNE
Fara Ndiaye entend fonder son action sur une démarche inclusive et désintéressée. Toutes les régions devront se sentir impliquées dans la gestion du conseil pour l’intérêt des jeunes.
Le seul profit qu’il attend de cette entreprise est sa satisfaction et celle de l’équipe du conseil national de voir les jeunes s’épanouir pleinement aux plans économique, social, sportif et culturel. Agé de 25 ans, le nouveau candidat à la direction du Conseil national de la jeunesse est spécialiste en Communication publique, territoriale et développement durable.
En termes de contribution au Plan Sénégal Emergent (Pse), il a publié un article intitulé : « La situation des enfants vulnérables au Sénégal, actions menées par l’AJE (Association Jeunesse, Espoir) à Saint-Louis et proposition de solutions pour une action gouvernementale plus efficace ».
« Inscrit dans la fidélité aux valeurs de la République, le bureau du Conseil national de la jeunesse », selon M. Ndiaye, « sera un acteur prépondérant dans la construction d’un Etat de droit, d’une démocratie participative et d’une société moderne fortement enracinée dans les cultures de nos aïeux mais également ouverte au brassage des civilisations ».
Sa candidature sera donc celle des « jeunes imbus de modernité, mais conscients du fait que l’avenir se construit à partir du passé ». Par cette démarche, il s’engage à s’inspirer de l’expérience de ses aînés, de la sagesse de ses parents et de l’énergie débordante de ses pairs jeunes et des mouvements nationaux.
Son programme intitulé Accord « Action de Croissance et de Citoyenneté pour l’Opportunité, la Responsabilité et le Développement de la jeunesse » repose sur trois piliers essentiels avec comme cheval de bataille la formation et l’emploi des jeunes. Il s’agit notamment de la croissance et du développement du capital humain juvénile, de la participation, du leadership, de la communication, de la transparence et de la « redevabilité ».
Mbagnick Kharachi DIAGNE