A travers leur art les premiers sous-verristes ont raconté l’histoire de leur religion, mais surtout de leur communauté. Selon les conférenciers, c’est à Saint louis que la peinture sous-verre a vraiment acquis ses lettres de noblesse.
Avec les belles drianké et le fameux «xoymett», (Ndlr : une pratique bien propre aux Saint louisiennes et qui se faisait pendant les nuits de noces) Saint-Louis a été le lieu d’épanouissement de la peinture sous-verre. Dans chaque maison, les dames se faisaient peindre dans leurs plus beaux jours.
Et dans la chambre la peinture sous-verre, faisait partie du décor, de la femme avec ses petits pagnes, ses petites perles de rein. Cela renvoie à la dimension érotique de la peinture sous-verre. Et les conférenciers ont bien fait de le nommer. «On ne peut pas parler de sous-verre sans parler de l’intimité dans les chambres», dira toujours Mame Moussé Diagne, qui met également l’accent sur la dimension pédagogique de cette peinture.
Avec Sudonline.sn
Avec les belles drianké et le fameux «xoymett», (Ndlr : une pratique bien propre aux Saint louisiennes et qui se faisait pendant les nuits de noces) Saint-Louis a été le lieu d’épanouissement de la peinture sous-verre. Dans chaque maison, les dames se faisaient peindre dans leurs plus beaux jours.
Et dans la chambre la peinture sous-verre, faisait partie du décor, de la femme avec ses petits pagnes, ses petites perles de rein. Cela renvoie à la dimension érotique de la peinture sous-verre. Et les conférenciers ont bien fait de le nommer. «On ne peut pas parler de sous-verre sans parler de l’intimité dans les chambres», dira toujours Mame Moussé Diagne, qui met également l’accent sur la dimension pédagogique de cette peinture.
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