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Les organisateurs de l’exposition "Présence africaine, une tribune, un mouvement, un réseau", prévue du 11 mars au 26 juin à Dakar, veulent mobiliser des visiteurs des régions de l’intérieur du pays, pour éviter que la manifestation ne soit simplement "un évènement dakarois".
Cette exposition, selon les organisateurs, est organisée pour "montrer le rôle majeur joué par ’Présence africaine’ dans l’histoire politique et culturelle des intellectuels noirs francophones, anglophones et lusophones des années 1950-1960".
L’exposition, a dit sa commissaire Sarah Frioux-Salgas, sera aussi "l’occasion de rendre hommage à Alioune Diop (1910-1980)", le fondateur de la maison d’édition Présence africaine et de la revue littéraire et culturelle du même nom en 1947.
"On ne souhaite pas que cette exposition soit un événement dakarois", a affirmé, lors d’une conférence de presse, Jean-Luc Le Bras, chef du Service de coopération et d’action culturelle (SCAC) de l’ambassade de France au Sénégal.
L’exposition est organisée par le musée du Quai Branly et l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), avec le soutien de la multinationale pétrolière Total.
Des élèves venus de plusieurs coins du Sénégal visiteront l’exposition, a dit Mariétou Diop, directrice de la bibliothèque centrale de l’UCAD. "Ça ne vas pas s’arrêter à Dakar", a assuré Mme Diop lors de la conférence de presse.
’’La ville natale d’Alioune Diop’’, Saint-Louis du Sénégal (nord), devrait être associée à l’organisation de l’exposition, a suggéré Le Bras aux organisateurs, l’UCAD, le musée du Quai Branly et Total.
"Nous allons préparer, avec la mairie de Dakar, une stratégie d’accès à l’exposition, pour les jeunes, et prévoir un programme des visites", a fait savoir Catherine Ferrant, déléguée générale de la Fondation Total.
Un journal sera distribué pendant la durée de l’exposition "pour permettre aux visiteurs de repartir avec quelque chose", a souligné Mme Diop, ajoutant que des étudiants de l’UCAD seront formés pour servir de guides aux visiteurs.
ESF/BK
APS
Cette exposition, selon les organisateurs, est organisée pour "montrer le rôle majeur joué par ’Présence africaine’ dans l’histoire politique et culturelle des intellectuels noirs francophones, anglophones et lusophones des années 1950-1960".
L’exposition, a dit sa commissaire Sarah Frioux-Salgas, sera aussi "l’occasion de rendre hommage à Alioune Diop (1910-1980)", le fondateur de la maison d’édition Présence africaine et de la revue littéraire et culturelle du même nom en 1947.
"On ne souhaite pas que cette exposition soit un événement dakarois", a affirmé, lors d’une conférence de presse, Jean-Luc Le Bras, chef du Service de coopération et d’action culturelle (SCAC) de l’ambassade de France au Sénégal.
L’exposition est organisée par le musée du Quai Branly et l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), avec le soutien de la multinationale pétrolière Total.
Des élèves venus de plusieurs coins du Sénégal visiteront l’exposition, a dit Mariétou Diop, directrice de la bibliothèque centrale de l’UCAD. "Ça ne vas pas s’arrêter à Dakar", a assuré Mme Diop lors de la conférence de presse.
’’La ville natale d’Alioune Diop’’, Saint-Louis du Sénégal (nord), devrait être associée à l’organisation de l’exposition, a suggéré Le Bras aux organisateurs, l’UCAD, le musée du Quai Branly et Total.
"Nous allons préparer, avec la mairie de Dakar, une stratégie d’accès à l’exposition, pour les jeunes, et prévoir un programme des visites", a fait savoir Catherine Ferrant, déléguée générale de la Fondation Total.
Un journal sera distribué pendant la durée de l’exposition "pour permettre aux visiteurs de repartir avec quelque chose", a souligné Mme Diop, ajoutant que des étudiants de l’UCAD seront formés pour servir de guides aux visiteurs.
ESF/BK
APS
