La coordonnatrice du Fanal de Saint-Louis a insisté mardi sur le symbolisme de ce rendez-vous culturel en expliquant que ce terme émane de l'expression" belle comme panal".
Marie Madeleine DIALLO, présidente de Jalloré s’exprimait en marge d’une rencontre avec la presse en présence de la styliste Oumou Sy, costumière du Fanal, de l’adjointe au maire Aida Mbaye Dieng et de la représentante du ministère de la Culture.
L’opératrice culturelle qui a rappelé que la procession du FANAL était une occasion de magnifier la beauté des Signares a mis l’accent sur les efforts fournis depuis 1999 par son label pour l'organisation de cet évènement.
Toutefois, pour la célébration de cette 16e édition centrée sur thème "l'expression culturelle facteur d'intégration et d'ouverture", les organisateurs ont fustigé le manque d'assistance et de soutien des autorités locales.
"Chaque année, ce sont les parrains qui sauvent le fanal", regrette Marie Madeleine DIALLO.
Elle a tenu aussi, à remercier le premier magistrat de la ville Monsieur Mansour Faye qui, n'eût été son appui, Cheikh Kanté, le directeur général du port autonome, ne serait pas le parrain de cette édition 2014.
Elle a tenu, en outre, a félicité la commission culturelle et touristique de la municipalité dirigée par madame Awa Ndiaye. Cette structure, selon elle, s'est engagée dans la mise en place d'une plateforme culturelle de la ville d'ici l'année prochaine
Prenant la parole Madame Oumou Sy a fait part de sa gratitude à l’endroit des organisateurs du fanal, en soulignant son attachement pour Saint-Louis dans laquelle elle avait ouvert son premier atelier de couture à l’âge de 13 ans.
DIAKHOU FALL
Marie Madeleine DIALLO, présidente de Jalloré s’exprimait en marge d’une rencontre avec la presse en présence de la styliste Oumou Sy, costumière du Fanal, de l’adjointe au maire Aida Mbaye Dieng et de la représentante du ministère de la Culture.
L’opératrice culturelle qui a rappelé que la procession du FANAL était une occasion de magnifier la beauté des Signares a mis l’accent sur les efforts fournis depuis 1999 par son label pour l'organisation de cet évènement.
Toutefois, pour la célébration de cette 16e édition centrée sur thème "l'expression culturelle facteur d'intégration et d'ouverture", les organisateurs ont fustigé le manque d'assistance et de soutien des autorités locales.
"Chaque année, ce sont les parrains qui sauvent le fanal", regrette Marie Madeleine DIALLO.
Elle a tenu aussi, à remercier le premier magistrat de la ville Monsieur Mansour Faye qui, n'eût été son appui, Cheikh Kanté, le directeur général du port autonome, ne serait pas le parrain de cette édition 2014.
Elle a tenu, en outre, a félicité la commission culturelle et touristique de la municipalité dirigée par madame Awa Ndiaye. Cette structure, selon elle, s'est engagée dans la mise en place d'une plateforme culturelle de la ville d'ici l'année prochaine
Prenant la parole Madame Oumou Sy a fait part de sa gratitude à l’endroit des organisateurs du fanal, en soulignant son attachement pour Saint-Louis dans laquelle elle avait ouvert son premier atelier de couture à l’âge de 13 ans.
DIAKHOU FALL