La saison du cinéma s’ouvre à l’Institut français de Saint-Louis. Ce samedi, c’est « Bois d’Ébène » de Moussa TOURE qui était à l’honneur. Ce documentaire-fiction sur la traite des Africains, l'esclavage et l'abolitionnisme dans la première moitié du 19e siècle qui a vu la traite redoubler d'intensité en même temps que montaient les idées abolitionnistes.
« C’est la première fois que je rencontre un public aussi passionné, avec autant de questions sur mon film. C’est la première fois qu’on m’a posé autant de questions pertinentes », s’est félicité le réalisateur de La Pirogue, séduit par la mobilisation des enfants de troupe du Prytanée militaire Charles Ntchoréré.
« Je ne suis pas un messager. Je ne fais pas de films pour envoyer des messages. Il a des choses qui me touchent dans ma vie. Je me penche sur ces sujets et je fais un film là-dessus », a-t-il précisé.
Moussa TOURE a évoqué, par ailleurs, l’influence de « traces sur l’esclavage » et son enfance à Gorée qui a créé en lui le déclic. « C’est là où on va vers un film et un sujet », a-t-il renseigné, en exprimant sa joie d’exposer son produit dans sa ville d’origine, Saint-Louis.
Toujours en guerre contre l’usine chinoise implantée à Keur Barka (Commune de GANDIOL), accusée de pollution sur le fleuve, le scénariste sénégalais précise maintenir son projet de film « pour alerter, dit-il, l’opinion nationale et internationale sur ce drame environnemental ».
> Suivez sa réaction au terme de la projection du Film
« C’est la première fois que je rencontre un public aussi passionné, avec autant de questions sur mon film. C’est la première fois qu’on m’a posé autant de questions pertinentes », s’est félicité le réalisateur de La Pirogue, séduit par la mobilisation des enfants de troupe du Prytanée militaire Charles Ntchoréré.
« Je ne suis pas un messager. Je ne fais pas de films pour envoyer des messages. Il a des choses qui me touchent dans ma vie. Je me penche sur ces sujets et je fais un film là-dessus », a-t-il précisé.
Moussa TOURE a évoqué, par ailleurs, l’influence de « traces sur l’esclavage » et son enfance à Gorée qui a créé en lui le déclic. « C’est là où on va vers un film et un sujet », a-t-il renseigné, en exprimant sa joie d’exposer son produit dans sa ville d’origine, Saint-Louis.
Toujours en guerre contre l’usine chinoise implantée à Keur Barka (Commune de GANDIOL), accusée de pollution sur le fleuve, le scénariste sénégalais précise maintenir son projet de film « pour alerter, dit-il, l’opinion nationale et internationale sur ce drame environnemental ».
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