Ce « beau gosse avec un beau style », pour reprendre ses proches collaborateurs qui tentent d’expliquer ce qu’on pourrait entendre par Bogo-style, est reconnu par le centre culturel français de Saint-Louis comme un excellent musicien qui travaille régulièrement le chant.
A en croire Vincent Giovannoni, directeur du centre culturel français, il s’est produit ces douze derniers mois en première partie de plusieurs spectacles sur la grande scène de ce centre.
En effet, ses deux principaux morceaux, notamment, « Nafi » et « Saint-Louis », composés et orchestrés par le célèbre pianiste du Khalam 2, Henry Guillabert, sont à chaqyue fois accueillis par des salves d’applaudissements.
Autant de raisons pour lesquelles, les populations et les férus du Rapp sont unanimes à soutenir que la générosité et la clarté de sa voix pourraient lui permettre, à coup sûr, de devenir un chanteur professionnel de très bon niveau.
L’industrie musicale Saint-Louisienne ne cesse de s’enrichir de ses nouvelles productions. Ce jeune Rappeur à la fleur de l’âge suit les pas d’Abdou Guité Seck, Niaguass, du koriste de jazz Kimingtang Ablaye Cissokho.
Cependant, du fait de son originalité, de la richesse de ses œuvres qui s’enracinent dans nos traditions pour s’ouvrir à la modernité, Bogo est plus connu à l’extérieur du Sénégal qu’à l’intérieur. A travers de très belles prestations, il a , à plusieurs reprises, représenté notre pays en Europe et en Afrique.
Après avoir réalisé des featuring avec DJ Awadi, Seul to Seul (un groupe français), Djoly Bou Alto, Danakil (groupe français) et plusieurs autres Rappeurs de renommée international, ce jeune musicien compte mettre sur le marché national et international un nouvel album.
Très convoité à l’étranger, cet artiste qui s’inspire du souffle de Mame Coumba Bang (Génie tutélaire des eaux), attire l’attention de nombreux producteurs. Il n’a jamais raté la moindre occasion de plaider pour la promotion des talents et autres génies en herbe de la musique en vue de leur permettre de mieux exploiter leur savoir faire et de vivre de leur art.
Mbagnick Kharachi Diagne
LE SOLEIL
A en croire Vincent Giovannoni, directeur du centre culturel français, il s’est produit ces douze derniers mois en première partie de plusieurs spectacles sur la grande scène de ce centre.
En effet, ses deux principaux morceaux, notamment, « Nafi » et « Saint-Louis », composés et orchestrés par le célèbre pianiste du Khalam 2, Henry Guillabert, sont à chaqyue fois accueillis par des salves d’applaudissements.
Autant de raisons pour lesquelles, les populations et les férus du Rapp sont unanimes à soutenir que la générosité et la clarté de sa voix pourraient lui permettre, à coup sûr, de devenir un chanteur professionnel de très bon niveau.
L’industrie musicale Saint-Louisienne ne cesse de s’enrichir de ses nouvelles productions. Ce jeune Rappeur à la fleur de l’âge suit les pas d’Abdou Guité Seck, Niaguass, du koriste de jazz Kimingtang Ablaye Cissokho.
Cependant, du fait de son originalité, de la richesse de ses œuvres qui s’enracinent dans nos traditions pour s’ouvrir à la modernité, Bogo est plus connu à l’extérieur du Sénégal qu’à l’intérieur. A travers de très belles prestations, il a , à plusieurs reprises, représenté notre pays en Europe et en Afrique.
Après avoir réalisé des featuring avec DJ Awadi, Seul to Seul (un groupe français), Djoly Bou Alto, Danakil (groupe français) et plusieurs autres Rappeurs de renommée international, ce jeune musicien compte mettre sur le marché national et international un nouvel album.
Très convoité à l’étranger, cet artiste qui s’inspire du souffle de Mame Coumba Bang (Génie tutélaire des eaux), attire l’attention de nombreux producteurs. Il n’a jamais raté la moindre occasion de plaider pour la promotion des talents et autres génies en herbe de la musique en vue de leur permettre de mieux exploiter leur savoir faire et de vivre de leur art.
Mbagnick Kharachi Diagne
LE SOLEIL