Libération étale dans sa parution de ce vendredi, les contours d’une bamboula disséquée par la Cour des comptes au sein du Programme d'Urgence de Modernisation des Axes et Territoires Frontaliers (PUMA).
« Alors que seuls la présidence de la République et les ministères sont habilités à s’attacher les services de chargés de mission par voie de contacts d’engagement, le Puma a recruté en toute illégalité, une armée de 62 chargé de mission », note le journal lu par Ndarinfo.
Il est révélé qu’entre 2019 et 2021, « le montant cumulé des rémunérations versées aux chargés de mission et aux prestataires de service se chiffre à 457 589 500 FCFA. Ils ont été imputés non pas à la masse salariale mais à une rubrique intitulée « appui à la coordination et au pilotage du Puma ». Le quotidien d’ajouter que « 79 autres chargés de missions étaient rattachés au ministère du développement communautaire ».
Selon le rapport de l’organe de contrôle, au lieu de servit à financer des investissements, une bonne partie des ressources financières du Puma est orientée vers le paiement des rémunérations de chargées dont la contribution aux activités du Programme est loin d’être établie.
Des rapports périodiques ne sont pas produits pour attester le service fait et justifie et les émoluments perçus, renseignent les vérificateurs.
NDARINFO.COM
« Alors que seuls la présidence de la République et les ministères sont habilités à s’attacher les services de chargés de mission par voie de contacts d’engagement, le Puma a recruté en toute illégalité, une armée de 62 chargé de mission », note le journal lu par Ndarinfo.
Il est révélé qu’entre 2019 et 2021, « le montant cumulé des rémunérations versées aux chargés de mission et aux prestataires de service se chiffre à 457 589 500 FCFA. Ils ont été imputés non pas à la masse salariale mais à une rubrique intitulée « appui à la coordination et au pilotage du Puma ». Le quotidien d’ajouter que « 79 autres chargés de missions étaient rattachés au ministère du développement communautaire ».
Selon le rapport de l’organe de contrôle, au lieu de servit à financer des investissements, une bonne partie des ressources financières du Puma est orientée vers le paiement des rémunérations de chargées dont la contribution aux activités du Programme est loin d’être établie.
Des rapports périodiques ne sont pas produits pour attester le service fait et justifie et les émoluments perçus, renseignent les vérificateurs.
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