La Biennale de l’art africain contemporain, le plus grand rendez-vous des arts visuels permettant aux artistes évoluant dans le continent africain et en dehors d’exposer et qui se tient tous les deux ans aura lieu cette année du 11 mai au 10 juin prochain. Cet événement est le premier rendez-vous pour Youssou Ndour, en sa qualité de nouveau ministre de la Culture et du Tourisme. Pour cette 10e édition du «Dak’art 2012», c’est « Créations contemporaines et dynamiques sociales» qui sera l’axe phare, avec quarante-deux artistes de vingt et un pays africains et l’Ile de la Réunion qui seront de la partie. Parmi les artistes retenus, six sont sénégalais : Mamadou Cissé, Ibrahima Niang «Piniang», Mamady Seydi, Cheikh Ndiaye, Henri Sagna et Cheikhou Bâ. Moment très attendu par le Sénégal, l’Afrique et même le monde, la Biennale accueille des centaines de personnes qui viennent de partout pour prendre part à cet important événement culturel, visiter les exposition «in» et «off».
Du reste, il faut noter que les expositions «off» se passeront à Dakar, Saint-Louis et dans les autres régions. Parce que le but, c’est d’acheter et d’échanger pour d’éventuels partenariats. «Dak’art 2012» est en effet très important pour le Sénégal car charriant des retombées d’argent certaines, notamment avec les logements d’hôtels, le transport, les restaurants, les marchés, entre autres. Nombreuses et importantes sont ainsi les retombées financières qu’engendre cet événement culturel pour le pays qui se déroulera à différents endroits avec des expositions au Musée Théodore Monod (Ifan), à la Galerie Nationale d’Art, à la Maison de la Culture Douta Seck, à la Place du Souvenir, à l’Atelier de Joe Ouakam du 17 rue Jules Ferry à Dakar Plateau et à la Gare ferroviaire.
L’autre chantier urgent de Youssou Ndour, c’est le Festival international «Saint-Louis Jazz» prévu sur cinq jours, du 24 au 28 mai, mais qui est d’une grande envergure. Car c’est un rendez-vous capital qu’attendent tous les mélomanes de Jazz, aussi bien au niveau national qu’international. En effet, les participants quittent toutes les contrées du Sénégal, d’Afrique, d’Europe et du monde pour venir assister à ces concerts donnés par de grands noms du Jazz mondial. Et à cette occasion, tous les hôtels de la capitale du nord affichent le plein des semaines avant, les restaurants et bars sont ouverts toute la nuit.
Les touristes qui viennent en masse font des excursions et visites guidées. Toutes les activités liées au tourisme connaissent un grand boom. Cette édition, la 20e du Festival, sera peut-être une occasion d’accueillir un plus grand nombre de visiteurs. Alors on espère que le nouveau ministre de la Culture et du Tourisme, le chanteur Youssou Ndour, maintiendra le cap, accentuera le sillon déjà tracé et attirera encore plus de monde, des touristes surtout,
au Sénégal à l’occasion de cet événement, grâce à son expérience et son aura internationales.
Oumou Sidya DRAME
Du reste, il faut noter que les expositions «off» se passeront à Dakar, Saint-Louis et dans les autres régions. Parce que le but, c’est d’acheter et d’échanger pour d’éventuels partenariats. «Dak’art 2012» est en effet très important pour le Sénégal car charriant des retombées d’argent certaines, notamment avec les logements d’hôtels, le transport, les restaurants, les marchés, entre autres. Nombreuses et importantes sont ainsi les retombées financières qu’engendre cet événement culturel pour le pays qui se déroulera à différents endroits avec des expositions au Musée Théodore Monod (Ifan), à la Galerie Nationale d’Art, à la Maison de la Culture Douta Seck, à la Place du Souvenir, à l’Atelier de Joe Ouakam du 17 rue Jules Ferry à Dakar Plateau et à la Gare ferroviaire.
L’autre chantier urgent de Youssou Ndour, c’est le Festival international «Saint-Louis Jazz» prévu sur cinq jours, du 24 au 28 mai, mais qui est d’une grande envergure. Car c’est un rendez-vous capital qu’attendent tous les mélomanes de Jazz, aussi bien au niveau national qu’international. En effet, les participants quittent toutes les contrées du Sénégal, d’Afrique, d’Europe et du monde pour venir assister à ces concerts donnés par de grands noms du Jazz mondial. Et à cette occasion, tous les hôtels de la capitale du nord affichent le plein des semaines avant, les restaurants et bars sont ouverts toute la nuit.
Les touristes qui viennent en masse font des excursions et visites guidées. Toutes les activités liées au tourisme connaissent un grand boom. Cette édition, la 20e du Festival, sera peut-être une occasion d’accueillir un plus grand nombre de visiteurs. Alors on espère que le nouveau ministre de la Culture et du Tourisme, le chanteur Youssou Ndour, maintiendra le cap, accentuera le sillon déjà tracé et attirera encore plus de monde, des touristes surtout,
au Sénégal à l’occasion de cet événement, grâce à son expérience et son aura internationales.
Oumou Sidya DRAME