Les cas de noyade se multiplient et malgré la persistance du danger, la ruée vers les plages s’accentue. Pourtant, plus de 29 surveillants et maitres nageurs ont été déployés dans les zones de baignade.
Seulement, certains font fi des indications livrées par ces guides. « L’une des victimes des eaux se baignait à plus de 400 mètres de la zone autorisée », a indiqué Oumar SARR, le coordonnateur des surveillants de baignade.
La zone mortelle commence à partir de l’hôtel Diamarek. « Il y a un courant fort et un sable en constant mouvement », explique M. SARR.
Un tableau de restriction a été placé à ce niveau, mais il a été détérioré.
À partir de l’entre de l’hydrobase jusqu’à l’hôtel précité en haut, les baignades sont autorisées et des sentinelles y veillent au grain.
Aujourd’hui, grâce au dévouement des hommes et femmes de M. SARR, une surveillance est faite sur la plage de l’hydrobase, à la maison de Lille, à côté du Pont et dans les autres sites de baignade.
NDARINFO.COM
Seulement, certains font fi des indications livrées par ces guides. « L’une des victimes des eaux se baignait à plus de 400 mètres de la zone autorisée », a indiqué Oumar SARR, le coordonnateur des surveillants de baignade.
La zone mortelle commence à partir de l’hôtel Diamarek. « Il y a un courant fort et un sable en constant mouvement », explique M. SARR.
Un tableau de restriction a été placé à ce niveau, mais il a été détérioré.
À partir de l’entre de l’hydrobase jusqu’à l’hôtel précité en haut, les baignades sont autorisées et des sentinelles y veillent au grain.
Aujourd’hui, grâce au dévouement des hommes et femmes de M. SARR, une surveillance est faite sur la plage de l’hydrobase, à la maison de Lille, à côté du Pont et dans les autres sites de baignade.
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