La construction d’une autoroute longue de 194,6 Km entre Dakar et St-Louis aura de graves conséquences sur les plans environnemental, économique, social entre autres. LEGS Africa liste les limites du rapport de l’étude de l’impact environnemental et social du projet de construction d’infrastructure routière.
la réalisation de ce projet pose des risques élevés de pollution de la nappe dans plusieurs localités et la réduction très considérable de la superficie des terres arables. Les pertes en terres agricoles pour la section Dakar-Mékhé sont estimées à 1871 ha et à 1309 ha sur l’axe Mékhé-Saint-Louis et celles en terres à usage d’habitation portent sur 3545 ha pour les deux axes.
L’activité agricole risque de recevoir un sacré coup selon le « Think Tank » qui remet en question la valeur compensatoire que les populations peuvent obtenir en guise d’indemnisation.
Le rapport final de l’Etude d’impact environnemental et social (EIES) du projet de construction dudit autoroute attire fortement l’attention sur la pollution de l’air pendant et après les travaux, qui à ce jour ne fait pas l’objet de prévisions afférentes au taux journalier de polluants et de particules fines.
Le tracé de cette autoroute à péage doit être bien repensé prône l’organisation non gouvernementale car ce projet peut conduire à un abattage de 395 948 pieds d’arbres forestiers dans un contexte de désertification. La préservation de la faune et donc des écosystèmes et le maintien des populations dans un environnement propice à l’exercice de leurs activités agricoles et d’élevage sont des objectifs de développement durable.
Pour rappel le tracé de l’autoroute à péage a déjà fait l’objet de rejet par les populations de Kayar. Pour parer aux difficultés environnementales, l’institution panafricaine préconise L’élaboration d’un plan de reboisement permettant de remplacer chaque pied abattu par au moins deux autres pieds.
Le projet de l’autoroute Dakar – Saint-Louis est prévu pour se dérouler en deux phases. La première phase, qui s’étend sur un linéaire de 114 km, part de Tivaouane Peulh à Lompoul. La deuxième phase quant à elle concerne un linéaire de 81 km, et relie Lompoul à Saint-Louis. « Les travaux vont commencer durant la fin de l’année 2022 » avait le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye.
la réalisation de ce projet pose des risques élevés de pollution de la nappe dans plusieurs localités et la réduction très considérable de la superficie des terres arables. Les pertes en terres agricoles pour la section Dakar-Mékhé sont estimées à 1871 ha et à 1309 ha sur l’axe Mékhé-Saint-Louis et celles en terres à usage d’habitation portent sur 3545 ha pour les deux axes.
L’activité agricole risque de recevoir un sacré coup selon le « Think Tank » qui remet en question la valeur compensatoire que les populations peuvent obtenir en guise d’indemnisation.
Le rapport final de l’Etude d’impact environnemental et social (EIES) du projet de construction dudit autoroute attire fortement l’attention sur la pollution de l’air pendant et après les travaux, qui à ce jour ne fait pas l’objet de prévisions afférentes au taux journalier de polluants et de particules fines.
Le tracé de cette autoroute à péage doit être bien repensé prône l’organisation non gouvernementale car ce projet peut conduire à un abattage de 395 948 pieds d’arbres forestiers dans un contexte de désertification. La préservation de la faune et donc des écosystèmes et le maintien des populations dans un environnement propice à l’exercice de leurs activités agricoles et d’élevage sont des objectifs de développement durable.
Pour rappel le tracé de l’autoroute à péage a déjà fait l’objet de rejet par les populations de Kayar. Pour parer aux difficultés environnementales, l’institution panafricaine préconise L’élaboration d’un plan de reboisement permettant de remplacer chaque pied abattu par au moins deux autres pieds.
Le projet de l’autoroute Dakar – Saint-Louis est prévu pour se dérouler en deux phases. La première phase, qui s’étend sur un linéaire de 114 km, part de Tivaouane Peulh à Lompoul. La deuxième phase quant à elle concerne un linéaire de 81 km, et relie Lompoul à Saint-Louis. « Les travaux vont commencer durant la fin de l’année 2022 » avait le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye.