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Présent ce mardi au dialogue national initié par le président de la République Macky Sall, Ameth Khalifa Niasse, dans sa prise de parole a donné le sens du dialogue selon lui. Faisant partie de la délégation des guides religieux venus prendre part à cette cérémonie, il a salué l’initiative du chef de l’Etat qui selon lui, a eu a réaliser la « cohésion sociale » dans le pays.
« L’homme qui est là c'est-à-dire le président Macky Sall, a un parcours exceptionnel parce qu’il a bravé tous les dangers. Il a mis sa vie en jeu, sa liberté en jeu, sa réputation en jeu et sa famille en jeu. Parcours exceptionnel signifie, homme exceptionnel. Le véritable objectif de ce parcours c’est de réaliser une cohésion nationale pour que le pays soit une seule (...), qu’on ne puisse pas jouer sur les différences entre les ethnies pour casser le pays. Donc nous ne pouvons que l’encourager parce qu’il s’agit d’un homme libre. »
Ameth Khalifa Niasse d’enrichir, « Le président ne doit sa réélection à personne, à aucune religion, à aucune ethnie, à aucun lobbie. Nous le savons très bien. Quand je suis venu l’encourager modestement dans sa campagne, je lui ai dit que je ne peux pas vous élire. Aujourd’hui qu’il a gagné et qu’il ne doit rien à personne, c’est aujourd’hui que ce dialogue a un sens. »
SENEWEB
« L’homme qui est là c'est-à-dire le président Macky Sall, a un parcours exceptionnel parce qu’il a bravé tous les dangers. Il a mis sa vie en jeu, sa liberté en jeu, sa réputation en jeu et sa famille en jeu. Parcours exceptionnel signifie, homme exceptionnel. Le véritable objectif de ce parcours c’est de réaliser une cohésion nationale pour que le pays soit une seule (...), qu’on ne puisse pas jouer sur les différences entre les ethnies pour casser le pays. Donc nous ne pouvons que l’encourager parce qu’il s’agit d’un homme libre. »
Ameth Khalifa Niasse d’enrichir, « Le président ne doit sa réélection à personne, à aucune religion, à aucune ethnie, à aucun lobbie. Nous le savons très bien. Quand je suis venu l’encourager modestement dans sa campagne, je lui ai dit que je ne peux pas vous élire. Aujourd’hui qu’il a gagné et qu’il ne doit rien à personne, c’est aujourd’hui que ce dialogue a un sens. »
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