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Alerte : la brèche a atteint 7 kilomètres d’ouverture.

Jeudi 16 Mai 2013

Dans le cadre du colloque sur les changements climatiques et les modifications de l’écosystème sur la langue de barbarie, organisé par Saint-Louis Jazz, une visite guidée sur la brèche nord a été effectuée pour permette aux différents panélistes de s’enquérir de cette catastrophe environnementale.


Alerte : la brèche a atteint 7 kilomètres d’ouverture.
Le lieutenant Oumar Kane du bureau d’information des parcs a indiqué que la brèche creusée en octobre 2003 à atteint 7 km d’ouverture aujourd’hui. C’est une distance de 20 km de filaos qui sont aussi menacée avec d’autres conséquences néfastes en vue.
M. Kane révèle que 21 milliards de mètres cubes d’eau sont ainsi perdues en permanence provoquant une augmentation vertigineuse du coefficient des marrées fortes et la récurrence des accidents en mer sur cette zone.

Cette situation menace également le parc de langue de barbarie désormais retranchée ou des espèces d’oiseaux s’entassent dans un petit ilot. ‘’Ce parc se perd au profit de l’embouchure’’, a précisé M. Kane.

Les conséquences sur le tourisme et la pêche sont imminentes. L’impossibilité pour les pirogues de plus de 30 tonnes de débarquer en mer, bloquées par les vagues et la disparition des zones de fortes attractions touristiques enlisent ces deux secteurs clés de développement.

Cheikh S.SEYE


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1.Posté par Lol le 16/05/2013 18:03
l'ouverture de cette brèche est u crime odieux de wade contre l'humanité car Saint-Louis est classé patrimoine mondial par l'UNESCO. Nous ne lui pardonnerons jamais celà.

2.Posté par lepassant le 16/05/2013 19:25
c'est gravement grave
Qu'est que le gouvernement attend pour resoudre ce probleme, ils vont attendre que la langue de barbarie disparait pour venir au secours de la population.
Domage que nous les senegalais ce que nous savons tres bien faire c'est d'attendre au moment de la catastrophe pour reagir
Les gens vont attendre jusqu'a ce que nos maisons et cimetiers disparaissent avant d'appeller au secours

3.Posté par rahne le 17/05/2013 08:14
Mais enfin une bréche de 7 km n'est plus une bréche mais un canal comme celui de SUEZ ou de PANAMA.Cest vrai des mesures préventives auraient du étre prises avant louverture de cette bréche,mais que faisaient nos spécialistes en protection de l'environnement et en hydrographie?Avec tous les séminaires sur les érosions organisés au SENEGAL de 1960 à nos jours

4.Posté par Arièle Jacques le 20/05/2013 14:36
Sans parler de tous les villages près du fleuve qui dépendent de l'eau douce puisée dans les puits. Les nappes phréatiques se remplissent d'eau salée et d'ici peu, les villageois qui dépendent de cette eau pour la culture comme à NDÉGO seront contraints de partir. QUE COMPTE FAIRE LE GOUVERNEMENT SENEGALAIS POUR CES VILLAGEOIS, TRAVAILLEURS ET DROITS ????

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