Ce sont 4 fortes recommandations qui ont sanctionné, le 15 mars, à Dakar, la rencontre du Comité de pilotage du Projet intégration de l’adaptation au changement climatique dans le développement durable au Sénégal (Intac). Il s’agit, entre autres, de la consolidation de la phase 1 (terminée depuis le mois de décembre dernier) pour un autre cycle de financement. La deuxième recommandation porte sur la finalisation du document, afin de mobiliser des ressources et de confirmer les ressources utilisées. Pour les membres du comité de pilotage, il urge de produire un document d’appui au projet, afin de tenir le Cadre local d’examen du projet (Clep). Une urgence qui a été retenue comme une recommandation de la part des membres dudit comité.
Enfin, la toute dernière recommandation a été la demande à adresser au Pnud pour l’utilisation du reliquat de 40 millions de FCfa de la fin de la première phase du projet. Aussi, faudra-t-il envoyer un Procès-verbal du comité de pilotage, en vue du démarrage des activités de la phase 2, pour définir les activités à faire sur le montant du reliquat.
La rencontre du comité de pilotage du projet Intac, présidée par Ernest Ndione, adjoint au directeur de l’Environnement, a permis au coordonnateur, Babacar Diouf, de faire le bilan de 36 mois d’activités. Il s’agissait d’incorporer et d’intégrer l’adaptation au changement climatique dans la politique, la gouvernance et les objectifs de développement. Ce projet a été financé par le gouvernement du Japon à travers le programme d’adaptation pour l’Afrique « Aap » qui couvre 20 pays du continent. L’exécution technique du projet a été confiée au Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).
Plusieurs actions ont été exécutées, notamment la protection côtière, avec les gabions, et l’aménagement du quai de pêche de Saly, mais aussi l’enrochement sur la corniche ouest et les travaux d’aménagement et de protection pour Thiawlène (238 millions FCfa). Des études ont été réalisées sur l’inventaire des ouvrages de protection côtière sur le littoral de Saint-Louis, à Dakar ; sur le niveau de prise en compte de l’adaptation au changement climatique dans les lettres de politique sectorielle…) et des recherches (sur le processus des forces de l’action climat ; sur un système d’alerte précoce ; et un modèle d’équilibre général permettant de prévoir la croissance du Pib national et le bien-être de la population à partir de la pluviométrie…. Il a été aussi question, dans ce bilan, du renforcement des institutions partenaires en équipement dans le but de mieux gérer les risques liés au climat, pour une meilleure adaptation au changement climatique.
Babacar Bachir SANE
Enfin, la toute dernière recommandation a été la demande à adresser au Pnud pour l’utilisation du reliquat de 40 millions de FCfa de la fin de la première phase du projet. Aussi, faudra-t-il envoyer un Procès-verbal du comité de pilotage, en vue du démarrage des activités de la phase 2, pour définir les activités à faire sur le montant du reliquat.
La rencontre du comité de pilotage du projet Intac, présidée par Ernest Ndione, adjoint au directeur de l’Environnement, a permis au coordonnateur, Babacar Diouf, de faire le bilan de 36 mois d’activités. Il s’agissait d’incorporer et d’intégrer l’adaptation au changement climatique dans la politique, la gouvernance et les objectifs de développement. Ce projet a été financé par le gouvernement du Japon à travers le programme d’adaptation pour l’Afrique « Aap » qui couvre 20 pays du continent. L’exécution technique du projet a été confiée au Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).
Plusieurs actions ont été exécutées, notamment la protection côtière, avec les gabions, et l’aménagement du quai de pêche de Saly, mais aussi l’enrochement sur la corniche ouest et les travaux d’aménagement et de protection pour Thiawlène (238 millions FCfa). Des études ont été réalisées sur l’inventaire des ouvrages de protection côtière sur le littoral de Saint-Louis, à Dakar ; sur le niveau de prise en compte de l’adaptation au changement climatique dans les lettres de politique sectorielle…) et des recherches (sur le processus des forces de l’action climat ; sur un système d’alerte précoce ; et un modèle d’équilibre général permettant de prévoir la croissance du Pib national et le bien-être de la population à partir de la pluviométrie…. Il a été aussi question, dans ce bilan, du renforcement des institutions partenaires en équipement dans le but de mieux gérer les risques liés au climat, pour une meilleure adaptation au changement climatique.
Babacar Bachir SANE