La mareyeuse Ajda Mame Fatou KAIRE est dans tous états. Pour cause, elle se dit victime d’une injustice perpétrée à son égard par un Algérien qui s’est installée dans son espace de production de glaces et de conservation de produits halieutiques.
« Il m’a fait convoquer à la police et à la gendarmerie comme si mon complexe était sa propriété, alors qu’il n’a fait une seule brique ici. J’ai entièrement construit cette usine de ma propre sueur et je lui avais juste loué une partie», a-t-elle déclaré dans un entretien avec la presse, dénonçant le fait que la justice ne soit pas prononcée sur la base du contrat qu’elle avait soigné avec le sieur Algérien.
« Je me demande dans quel Sénégal nous sommes ? Comment une femme qui s’est battue jusqu’à mettre sur pied une usine de glace complète peut-elle être découragée et combattue aussi injustement ? », s’interroge-t-elle, en invitant le président Macky SALL à agir.
En a croire Mme KAIRE, l’Algérien en question doit également de l’argent à un investisseur Chinois qui voulait s’engager dans le secteur de la pêche.
" Il est parti me diffamer à la justice dire que je l'ai empéché de travailler", dénonce-t-elle.
« J’exige simplement qu’il sorte de mon usine et qu’il me paie mes 14 mois d'arriérés de loyer », a-t-elle dit, très en verve.
« Il m’a fait convoquer à la police et à la gendarmerie comme si mon complexe était sa propriété, alors qu’il n’a fait une seule brique ici. J’ai entièrement construit cette usine de ma propre sueur et je lui avais juste loué une partie», a-t-elle déclaré dans un entretien avec la presse, dénonçant le fait que la justice ne soit pas prononcée sur la base du contrat qu’elle avait soigné avec le sieur Algérien.
« Je me demande dans quel Sénégal nous sommes ? Comment une femme qui s’est battue jusqu’à mettre sur pied une usine de glace complète peut-elle être découragée et combattue aussi injustement ? », s’interroge-t-elle, en invitant le président Macky SALL à agir.
En a croire Mme KAIRE, l’Algérien en question doit également de l’argent à un investisseur Chinois qui voulait s’engager dans le secteur de la pêche.
" Il est parti me diffamer à la justice dire que je l'ai empéché de travailler", dénonce-t-elle.
« J’exige simplement qu’il sorte de mon usine et qu’il me paie mes 14 mois d'arriérés de loyer », a-t-elle dit, très en verve.