Si en première instance, l’ancien Premier ministre a été relaxé dans l’affaire qui l’oppose avec son ex épouse, Abdoul Mbaye risque la prison. Le procureur général de la Cour d’appel de Dakar a requis 1 an ferme contre lui. Ce, après qu’il a demandé que les faits de faux et usage de faux initialement reprochés à Abdoul Mbaye soient requalifiés en obtention indument d’un document administratif.
« On reproche à Abdoul Mbaye le fait d’avoir obtenu indument un document administratif.
« C’est dommage que toutes les personnes qui devaient être entendues ne le soient pas dans cette affaire. Ce sont les conditions d’obtention du document qui posent problème. Je vous demande de requalifier les faits en obtention indument d’un document administratif. Ce sont les conditions d’obtention qu’on lui reproche. Elles n’ont pas été faites dans les règles de l’art », a requis le parquet. Qui a demandé la relaxe pour l’officier d’état civil qui a été condamné à 6 mois assortis de sursis en première instance.
D’après le maitre des poursuites, Adama Thiam n’a rien fait parce qu’il a agi sur instruction de son supérieur en l’occurrence le juge du tribunal départemental de l’époque. « Adama Thiam n’avait pas l’intention manifeste de commettre du faux. Nous ne pouvons lui reprocher d’avoir commis un faux puisqu’il a agi sur la base de l’ordre donné par ses supérieurs ». L’audience se poursuit. Les plaidoiries des avocats de la partie civile démarrent.
EMEDIA
« On reproche à Abdoul Mbaye le fait d’avoir obtenu indument un document administratif.
« C’est dommage que toutes les personnes qui devaient être entendues ne le soient pas dans cette affaire. Ce sont les conditions d’obtention du document qui posent problème. Je vous demande de requalifier les faits en obtention indument d’un document administratif. Ce sont les conditions d’obtention qu’on lui reproche. Elles n’ont pas été faites dans les règles de l’art », a requis le parquet. Qui a demandé la relaxe pour l’officier d’état civil qui a été condamné à 6 mois assortis de sursis en première instance.
D’après le maitre des poursuites, Adama Thiam n’a rien fait parce qu’il a agi sur instruction de son supérieur en l’occurrence le juge du tribunal départemental de l’époque. « Adama Thiam n’avait pas l’intention manifeste de commettre du faux. Nous ne pouvons lui reprocher d’avoir commis un faux puisqu’il a agi sur la base de l’ordre donné par ses supérieurs ». L’audience se poursuit. Les plaidoiries des avocats de la partie civile démarrent.
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