« C’est une excellente initiative. C’est énormément le travail d’Ablaye Cissoko qui est un talent reconnu de la musique africaine, qui a fait ses preuves un peu partout. C’est un honneur et un plaisir de participer à ce plateau qu’il organise pendant le festival jazz. Je fais partie de ses invités pour partager avec lui des moments agréables de musique. C’est toujours un plaisir de retourner jouer à Saint-Louis ; une ville qui a son histoire et qui connait un foisonnement musical, surtout avec le festival. Donc, on fait le « off » de ce festival et ce sera un bon moment pour ceux qui ont assisté au « In » de venir découvrir autre chose ».
Duo avec Ablaye Cissoko
« Ce sera un beau plateau puisque je ne serai pas seul. Il y aura d’autres invités-surprises et je pense qu’il y a un moment qu’on va jouer ensemble dans mon groupe. Pour un jour on va faire ça, mais pour les autres jours on va accompagner Ablaye Cissoko. On va jouer ensemble, et bien s’éclater avec ça. Je vais jouer de la basse, de la guitare et je vais chanter aussi. Ça se fera dans l’intimité, comme si on était dans une maison, au tour d’un café pour jouer. L’objectif sera de faire découvrir au public ce côté privé et intime de la musique qu’on joue ».
Projet d’album avec Ablaye Cissoko
« Dans le cadre du Colanote café, qui est une plateforme d échanges culturels que j’ai conçue, je prévois de sortir avec Ablaye Cissoko un album. Ce sera un juste mélange de la sauce africaine avec tous les instruments modernes (piano, batterie, basse). C’est un projet africain assez important, on verra le résultat ».
Ecole d’initiation à la kora…
« Je trouve que c’est une excellente chose. Ablaye Cissoko a une grande expérience de la scène internationale. C’est le moment pour lui de partager avec les moins jeunes cette expérience qui va surtout servir la musique. C’est bien qu’il ait une école de formation, que les gens apprennent. Ça manque en Afrique les centres de formation de la musique. Les gens sont formés sur le tas, ils ont plus ou moins besoin d’expérience qui puisse leur montrer la bonne voie. C’est une école qui arrive au bon moment. S’il y avait des écoles comme celle d’Ablaye, en matière de basse et de guitare, ça aiderait beaucoup. Je pense que tout le monde veut avoir des instruments traditionnels dans sa musique. Chacun est parti de son côté, et on s’est perdus. Maintenant, tout le monde a envie de retourner aux sources. Je pense que les instruments traditionnels sont là pour relever les défis. On ne va pas attendre que les Américains arrivent et profitent de nos atouts. Ce serait vraiment dommage qu’ils apprennent les secrets de nos instruments et qu’on reste là sans rien faire. C’est pour cela que le projet Colanote qu’on est en train de faire avec Ablaye Cissoko, c’est un mélange d’instruments traditionnels et modernes pour dire que maintenant, dans ce monde il faut du métissage pour faire avancer les choses ».
Quelle appréciation du Festival Jazz ?
« J’avoue que je n’avais pas eu une bonne impression. J’ai une mauvaise expérience. Techniquement, il y avait beaucoup de problèmes et plus ou moins ça a eu un effet bizarre sur ma prestation tellement les gens étaient concentrés sur ce son-là. Ce qui fait que je garde donc un mauvais souvenir de mon passage. Je pense que dans les années à venir on va avoir un festival avec du bon son, avec des techniciens beaucoup plus qualifiés pour éviter ces genres de couacs ».
NDARINFO.COM
Duo avec Ablaye Cissoko
« Ce sera un beau plateau puisque je ne serai pas seul. Il y aura d’autres invités-surprises et je pense qu’il y a un moment qu’on va jouer ensemble dans mon groupe. Pour un jour on va faire ça, mais pour les autres jours on va accompagner Ablaye Cissoko. On va jouer ensemble, et bien s’éclater avec ça. Je vais jouer de la basse, de la guitare et je vais chanter aussi. Ça se fera dans l’intimité, comme si on était dans une maison, au tour d’un café pour jouer. L’objectif sera de faire découvrir au public ce côté privé et intime de la musique qu’on joue ».
Projet d’album avec Ablaye Cissoko
« Dans le cadre du Colanote café, qui est une plateforme d échanges culturels que j’ai conçue, je prévois de sortir avec Ablaye Cissoko un album. Ce sera un juste mélange de la sauce africaine avec tous les instruments modernes (piano, batterie, basse). C’est un projet africain assez important, on verra le résultat ».
Ecole d’initiation à la kora…
« Je trouve que c’est une excellente chose. Ablaye Cissoko a une grande expérience de la scène internationale. C’est le moment pour lui de partager avec les moins jeunes cette expérience qui va surtout servir la musique. C’est bien qu’il ait une école de formation, que les gens apprennent. Ça manque en Afrique les centres de formation de la musique. Les gens sont formés sur le tas, ils ont plus ou moins besoin d’expérience qui puisse leur montrer la bonne voie. C’est une école qui arrive au bon moment. S’il y avait des écoles comme celle d’Ablaye, en matière de basse et de guitare, ça aiderait beaucoup. Je pense que tout le monde veut avoir des instruments traditionnels dans sa musique. Chacun est parti de son côté, et on s’est perdus. Maintenant, tout le monde a envie de retourner aux sources. Je pense que les instruments traditionnels sont là pour relever les défis. On ne va pas attendre que les Américains arrivent et profitent de nos atouts. Ce serait vraiment dommage qu’ils apprennent les secrets de nos instruments et qu’on reste là sans rien faire. C’est pour cela que le projet Colanote qu’on est en train de faire avec Ablaye Cissoko, c’est un mélange d’instruments traditionnels et modernes pour dire que maintenant, dans ce monde il faut du métissage pour faire avancer les choses ».
Quelle appréciation du Festival Jazz ?
« J’avoue que je n’avais pas eu une bonne impression. J’ai une mauvaise expérience. Techniquement, il y avait beaucoup de problèmes et plus ou moins ça a eu un effet bizarre sur ma prestation tellement les gens étaient concentrés sur ce son-là. Ce qui fait que je garde donc un mauvais souvenir de mon passage. Je pense que dans les années à venir on va avoir un festival avec du bon son, avec des techniciens beaucoup plus qualifiés pour éviter ces genres de couacs ».
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